Trop inattendu...

Avvin Skorceni

...sans commentaires. Chacun doit comprendre tout seul...

Les ailes faisaient mal, je les ai secou;es et apr;s s’;tre accroch; avec les pattes je me suis assis sur la branche. Les ailes faisaient un peu mal surtout la plaie sur la c;te droite d’o; sortait la pointe de la fl;che d’arbal;te. J’ai cass; la hampe, mais je n’ai pas os; de sortir la pointe. Elle ;tait rentr;e trop profond;ment et sans aide sp;ciale je pouvais perdre tout mon sang. Bien que je sois coupable, maintenant les gens surveillent plus soigneusement leurs espaces emblav;es. On est devenu plus courageux. Evidement apr;s avoir tu; les feux courants et le Dragon il n’y avait pas de force sur ces terrains qui pourraient rendre les anciennes positions. J’;tais en train de r;fl;chir sur ce sujet sous l’arbre o; j’;tais assis quand j’avais entendu au-dessous le grincement lent. J’ai regard; en bas et j’ai vu le bossu qui nettoyait l’;p;e. Je le combattrai j’aurai la victoire morale, en plus il n’a pas d’arbal;te.
-Eh! Monstre! O; as-tu trouv; une bosse tellement jolie? Peut-;tre pendant les soldes pour les pervers? –j’ai henni, ayant ;t; s;r de ma force, mes ailes et ma beaut;. La branche au-dessous de moi a grinc; et fait tomber quelques feuilles. Le bossu a regard; avec les yeux pleins de feu de vengeance, j’avais m;me un peu peur car son regard ;tait tellement lourd. Il gardait le silence et continuait ; nettoyer son ;p;e. Je m’envolais plus haut ayant peur qu’il jette l’;p;e et quand j’;tais loin pour recevoir un coup, j’ai cr;e:
-Eh toi! Je parle avec toi! Pourquoi ne participes-tu pas au concours de beaut;? Je suis s;r, tu gagnerais le premier prix. – Il gardait le silence. – Si tu veux, je soufflerai un petit mot et tu seras embauch; au cirque? Ne dis pas merci nous sommes presque amis.
Pour donner plus d’importance ; mes paroles j’ai jet; un fruit cueilli et en plus j’ai crach;. Il est ;tonnant, c’;tait tellement haut, tellement loin de lui, mais le bruit et le crachat ont touch; au but. Il a jet; un coup d’;il froid, essuy; le crachat et saut;...
...mes yeux sont devenus larges d’;tonnement et le sang a jailli de sa bouche. Le bossu suspendu en air a tourn; encore une fois son ;p;e dans mon ventre et d’un coup l’a arrach;. Le sang a jailli de la plaie et les tripes sont tomb;...
Mes ailes devenaient de plus en plus faibles, les pattes ; peine tenaient-elle la branche. Le brouillard de la mort couvrait mon cerveau gourd avec un voile opaque. Soudain, le bossu a vol; deux tours autour de moi et s’est arr;t; en face de ma figure. Je le regardais stup;fait et les cellules de mon organisme commen;aient ; mourir.
Rappelle-toi, h;ros, m;me celui qui n’a pas d’ailes peut voler, - il s’est envol; en haut et est all; plus loin. Et moi, je tenais quelques secondes et je suis tomb; en bas sous l’arbre comme une pierre, en cassant mes ailes par les branches o; une minute avant le bossu avaient ;t; assis. Je suis tomb;, son sang giclait sur l’herbe et la terre. Mes yeux presque s’enfermaient.
Les b;tes omnivores en sentant le sang sont sorties du terrier en face. “Le repas est pas mal” – on pouvait lire sur les museaux.
Tu vois. Je ne pensais jamais que je serai dig;r; dans l’estomac de ces monstres “Et que vous vous ;trangliez” - la derni;re pens;e a travers; l’esprit de ma t;te qui devenait froide. Apr;s le d;part des b;tes l’;ternit; muette a ouvert ses ailes sombres au-dessus de moi.


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