Les bases appliqu es

  Les bases appliqu;es.

La base de toute la philosophie contemporaine est la d;claration de Descartes qui est connue ; tout le monde: « je pense donc je suis ».
        Certainement, il va s’agir pas de cela, mais sur un autre cas particulier qui est capable d’;tre appliqu; ; la r;alit; moderne et pr;moderne. La th;orie pure (c’est-;-dire la th;orie sans v;rification d’exp;rience) en accumulant avec le temps des d;fauts devient-elle faible et injustifi;e. La pens;e purement th;orique se conduit comme un ensemble de grandes quantit;s des op;rations avec les nombres approximatifs: les d;fauts s’accumulent. Elles s’accumulent, quoique les donn;es initiales aient l’air comme les donn;es exactes, ne suscitant aucun doute.
        Vous imaginez-vous que n’importe qui vienne de cr;er une th;orie et en commencement essentiel partirait-il d’une erreur absolue, par exemple, comme si la forme de la Terre soit un cube. Quel destin historique serait-il de la philosophie pareille ? Elle serait tomb;e dans l’oubli depuis longtemps et ne se serait conserv;e que pour ;gayer et amuser les lecteurs.
        Non. Il n’y a aucune philosophie qui se baserait sur un absurde sinc;re. Tout a l’air convaincant comme les arbres avec ses troncs, les branches fondamentales qui sont vues assez distinctivement. Puis tel arbre se couvre-t-il par branches moins consid;rables, puis par petites branches et enfin par les moines branchettes. Tout ;a graduellement se transforme en fourr; auquel il ne peut que se perdre. C’est naturel que chaque cr;ateur loue son ouvrage. Parfois on entend les louanges de sorte: «la doctrine de Marx est toute puissante, puisqu’elle est juste».
        Vous pouvez d;penser toute la vie, en ;tudiant chaque petite branchette de cet arbre th;orique ou de plusieurs arbres (bien s;r, si vous ne manquerez pas de la dur;e de la vie) et vous n’apprendrez pas jusqu’au bout, qui d’eux est juste en effet. Mais si vous go;teriez un fruit de cet arbre ou de l’autre, alors vous comprendrez tout sans dire.
        Faites attention au fait: est-ce qu’on peut ;tablir en th;orie la v;n;nosit; d'un champignon v;n;neux? Il est possible qu’il n’y ait personne qui se chargerait d’ex;cuter ce travail. Nous ne cueillons pas les champignons v;n;neux, en sachant les exp;riences fatales de ceux qui sont empoisonn;s.
        Il est arriv; ; telle mani;re que le pr;c;dent si;cle vingti;me est pass; comme un si;cle de la connaissance, le si;cle des exp;riences. L’exp;rience avec philosophie du marxisme est pass;e presque parfaitement: beaucoup des peuples assez diff;rents sont-ils pris pour l’exp;rience, les peuples avec religions et mentalit;s toutes diff;rentes; les niveaux du d;veloppement et de l’aisance ;taient-ils tous diff;rents aussi. Et les socialismes m;mes ne manquaient-ils de la diversit;, y compris m;me le national-socialisme d’Allemagne. Et maintenant indiquez-moi quoiqu'un seul pays, quoiqu'une seule r;gion o; la doctrine de Marx cultiverait-elle le paradis terrestre. Mais ne parlez pas sur la Chine qui s’est ;lev; pour compte de la tromperie de tout le monde par sa production bon march; mais bonne ; rien, pas pour compte des id;es du marxisme-l;ninisme. La conclusion est ;vidente: les id;es du communisme sont le poison. Le communisme, aussi le national-socialisme – ils sont le poison qui est jet; ; la poubelle de l’histoire depuis longtemps. Et seulement les pays qui sont les plus arri;r;s envers l’id;ologie, tirent-ils cette charogne de la poubelle et la go;tent. L’Allemagne est devenue grande, d;velopp;e et libre sans n’importe quels «f;hrers». Il n’y a que les pays malchanceux songent-ils en les personnes de certains citoyens sur L;nine, Staline et Hitler.
        Nous vivons dans le temps heureux o; le fruit empoisonnant est discern;, le fruit empoisonnant qui attirait et s;duisait comme ;a pendant quelques derniers si;cles. Ces connaissances sont extraites par l’;norme prix, par prix des dizaines millions des vies humaines. Il n’y a que ceux qui manquent du courage pour couper des habitudes abjectes qui sont h;rit;es de mass; amer, ceux qui laissent aller de se tromper, de s’induire en erreur – c’est ils qui continuent ; adorer les idoles d;couronn;s depuis longtemps, qui continuent ; adorer les idoles et se servir aux forces sataniques du communisme et du fascisme. Parfois ils essayent de mettre la comparaison absurde les id;es du communisme et le christianisme. Voil; nous sommes atteints ; une base fondamentale.
        Christ pr;chait l’avantage de personne sur la soci;t;: «Heureux serez-vous, lorsque les hommes vous ha;ront, lorsqu'on vous chassera, vous outragera, et qu'on rejettera votre nom comme inf;me, ; cause du Fils de l'homme! R;jouissez-vous en ce jour-l; et tressaillez d'all;gresse, parce que votre r;compense sera grande dans le ciel; car c'est ainsi que leurs p;res traitaient les proph;tes». (Luc 6.22-23).
        Voil;, c’est ici o; le communisme pratique donne-t-il les recommandations tout oppos;es. ; chaque pas on sugg;re qu’un homme qui est seul soit-il une nullit;, mais tout ensemble soit la grande force. Le r;sultat auquel cette «grande force» m;ne-t-elle, un homme politique c;l;bre a parl; tr;s bien sur cela: «On voudrait comme mieux, mais il est arriv; comme toujours» (Tchernomyrdin). Et il sera arriv; toujours comme ;a, puisque c’est une r;gularit; naturelle: l;-bas o; un troupeau a de pr;f;rence et l’individualisme est m;pris;, et l’initiative est ;touff;e – n’attendez pas que dans la situation sociale pareille ; cr;era-t-on ou produira-t-on quelque chose d'utile. Si c’est les marchandises – elles ne passeront pas concurrencer. Si c’est les r;unions sociales – elles seront tr;s semblables au «Quatuor» d’apr;s c;l;bre ;crivain des fables Krylov. (Cette fable raconte, comme quatre animaux-musiciens qui ne savent pas ; jouer bien et changent leur lieu sur la sc;ne toujours, mais la musique reste mauvaise malgr; tout). Et dans ce cas il n’y a pas besoin de beaucoup la th;orie. ; quoi bon la th;orie, tandis que il y a des exemples ;vidents dans les pays d;velopp;s et prosp;res de l’Ouest o; l’individualisme a lieu principal, pas collectivit; ; la mani;re sovi;tique. L;-bas o; a lieu L’AVANTAGE DE PERSONNE SUR LA SOCIETE, mais pas contraire. C’est la base fondamentale de la r;alit; et il est facile de retenir cela.
        La deuxi;me base est les valeurs ;ternelles: DIEU, L’AMOUR, LA VERIT;, LA LIBERT;. Ce sont les valeurs v;ritables, contre lesquelles la soci;t; impose les valeurs fausses: «la M;re-Patrie» (en URSS), une Partie, un ;tat, une organisation (n’importe quelle). Dans ces questions il aurait de pr;f;rence pas s’appuyer sur n’importe quels raisonnements qui emm;nent n’importe o; loin et pour longtemps, mais sur des exemples pratiques. Dans l’Angleterre il n’y a aucune conception de la «M;re-Patrie» dont la radio BBC a parl; une fois assez net et clairement. Bien s;r, les Anglais, les Am;ricains et certains d’autres aiment ses pays, mais il y a quelque chose de quoi on peut les aimer. Si n’importe qui d’eux perdrait son pays – il perdra la libert;, la loi qui le prot;ge, il perdra la possibilit; d’appliquer au bien des concitoyens et avec cela sans faute au bien de soi-m;me et sa famille – en somme, il perdra tout. Mail si un Russe perdrait son pays – qu’est-ce que perdra-t-il? est-ce que sont les bureaucrates multipliant et sans talent lesquels il nourrit? les employeurs, lesquels ne payent impun;ment le salaire ; temps, quoique ce soit contre loi? les flics, lesquels ne le d;fendent pas en majorit; des occasions, mais ils le peuvent une fois inculper de crime qu'il n'a point commis? Les canailles, lesquelles peuvent une fois secr;tement ; faire exploser ou pilonner ouvertement sa maison, en partant de la raison d'aventurisme politique. Ou les gredins-l;, lesquels enverront son fils une fois, contre sa volont; ; "r;primer le Caucase" qui signifie en fait ; commettre le g;nocide en apportant les morts et les destructions, enfin payer tout cela de sa vie? Il est ;vident qu'en vue de devenir un homme libre qui peut estimer soi-m;me, il suffit pas beaucoup: pour cela suffit-il de se rendre compte de personnes expos;es ci-dessus que c'est ils qui sont tous les ennemis r;els, les m;mes occupants, lesquels ont an;anti son pays r;el en 1917 et que la "M;re-Patrie" - laquelle veut-on ; faire aimer - ce n'est qu'une idole satanique, par laquelle ces canailles tentent de justifier chacun son crime, et cette idole n'a rien ; faire avec la patrie r;elle, ; laquelle le po;te Es;nine a d;di; une po;sie. Il ne serait superflu ; rappeler que Hitler for;ait ; aimer la "M;re-Patrie" aussi et, bien s;r, la nation que nous ferons ; peu pr;s d'attention. Et maintenant il ne serait superflu de rappeler que les adeptes du patriotisme ; la sovi;tique indiquent-ils ; l'Ouest, comme si les gens occidentaux sont patriotes pas moins que ceux dans la Russie. Je parlerais de ce que oui, ils sont les patriotes aussi, mais pas les m;mes. Et le patriotisme occidental distingue par celui-ci qu'; l'Ouest c'est l';tat qui est pour l';tre humain, mais pas l';tre humain pour l';tat que les travailleurs d'id;ologie et les ;ducateurs patriotiques essayent-ils tout d'imposer obstin;ment. Essayez de sugg;rer ; n'importe quel Am;ricain que depuis qu'il est n;, tout juste, il est oblig; certaines dettes impayables ; l';tats-Unis. Je suppose qu'il estimerait que vous ;tes devenus fou. Aimer sa patrie - il n'y a rien mauvais en cela ; condition qu'il y ait quelque chose dont il l'est possible d'aimer. Mais si quelqu'un chante hosannah ; l';tat qui le maltraite - c'est l'encensement d'esclave et un indicateur ;vident de la mentalit; d'esclave.
        Le concept «nation» est examin; dans l’oeuvre «Высокогорье» («Le Pays des Montagnes») en chapitre IV et il ne faudrait pas manquer quelque chose se d;coupant encore sur les ;v;nements passants, un aspect des questions nationales qui n’y est pas examin;. Oui, n’importe quelle nation est une foule, et il ne la faut pas mettre dans la m;me s;rie avec les valeurs ;ternelles, aussi il ne faut pas imputer l'appartenance nationale ; une personne isol;e en qualit; d’une faute ou d’un m;rite ou examiner cela comme un objet de la fiert;. Ici il s’agit de la lib;ration des nations isol;es du r;gime sovi;tique ou du pareil celui-l;, la lib;ration qui maintenant est nomm;e «les r;volutions orange» que je ne peux qu’; saluer. Par exemple, l’Ukraine ne peut pas lib;rer tous les pays asservis comme la Chine, la Nord Cor;e ou la Cuba. L’Ukraine ne peut que l’Ukraine ; lib;rer et pas partiellement, mais au total.
        Voil; o; un danger se cache, un danger de la disposition incorrecte des valeurs. Les gens qui aident ; lib;rer sa nation, ils le font pas pour la nation, mais pour la libert; ; premier tour, pour chaque homme isol; serait-il libre. En processus de la lib;ration chaque personne agit pour lib;rer soi-m;me et ses proches selon esprit ou selon parent;, point en qualit; de l’oblig; qui paye n’importe quelle dette inexistante ; n’importe quelle nation abstraite.
        Le m;canisme des relations nationales n’est pas tr;s compliqu;. Il est relativement simple et il n’y a aucune n;cessit; ; cr;er les labyrinthes philosophiques autour la question des relations nationales. Il est assez ; assimiler une simple r;gle d;s le d;but: si un homme n’est pas connu ; nous, et nous ne savons que sa nationalit;, nous avons le seul droit de parler sur la probabilit; du comportement attendu, mais nous n’avons aucun droit moral ; juger l’homme selon sa nationalit;.
 La seule relation n;gative qui est admissible envers un homme inconnu, c’est la m;fiance, mais cela ne d;pende pas aussi de l’appartenance nationale. Et cette m;fiance en n’importe quel cas ne doit-il pas d’avoir l’air insultant comme le verrou ; porte ou signalisation aux fen;tres n’ont-ils rien d’air insultant.
        Le d;saccord national est le mal qui peut repousser r;ciproquement ces gens qui pourraient se battre la main dans la main efficacement contre un ennemi commun, et ce d;saccord n’est approuv; ni dans la Bible, ni dans le Coran, ni dans la Bhagavad Guita, ni dans les autres Saintes ;critures. Et le mal principal se trouve en cela qu’au lieu du joug dont il est ;tabli le but ; se lib;rer, un autre joug est propos; , le joug de service ; la nation. Ainsi ;a va certaines r;gressions ; la direction de l’avantage de nation sur ses repr;sentants en vue de la dette impayable et ;ternelle ou de l’autre construction d;magogique, c’est-a-dire, la r;gression ; la direction de pr;f;rence la soci;t; sur Individu, la pr;f;rence qui m;nera in;vitablement au totalitarisme si on ne s’arr;terait pas ; temps.
        L’avantage de Personne sur la soci;t;, cela n’est point un pouvoir sur la foule. C’est pourquoi n’importe quel despote est une certaine part de cette foule, et n’importe quelle part de cette foule ne peut pas ;tre la Personne, ni sup;rieur, ni inf;rieur. La position avantageuse se trouve au-dehors de la foule, pas au-dedans. Il n’y a aucune n;cessit; ; se trouver physiquement au-dehors de la foule. Il s’agit de l’ermitage spirituel, c’est-;-dire, avoir sa propre opinion, ne pas juger par les cat;gories et les concepts de la foule, pour ne s’arr;ter pas en d;veloppement, mais se d;velopper encore, se perfectionner, pour ne tenir pas compte de l’opinion de la foule ou n’inviter pas la foule dans son propre syst;me des valeurs en g;n;ral. C’est le m;me individualisme occidental r;el. Et les choses principales qu’il faille ; retenir pour toujours, elles ne sont que deux:
        LA BASE PREMIERE: l’avantage de Personne sur la soci;t; – c’est le christianisme v;ritable. L’avantage d’une soci;t; sur Personne – c’est le mal satanique qui m;ne au totalitarisme.
        LA BASE DEUXIEME: ceux sont les valeurs v;ritables lesquelles lib;rent: DIEU, L’AMOUR, LA VERITE, LA LIBERTE. Les «valeurs» fausses qui asservissent – ce sont: la nation, l’;tat, la «M;re-Patrie», la partie.
        C’est vous qui choisirez entre ces valeurs. Il n’y a personne qui ferait ce choix au lieu de vous-m;mes.
 FIN


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