15. 20. Пушкин Le duel avec Pouchkine

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Любопытно как  дуэль француза с Пушкиным подают во французской Вики-педии

Французская википедия-версия дуэли Пушкина с д-Антесом

Ст. Georges-Charles de Heeckeren d'Anth;s
 
Le duel avec Pouchkine

Rivalit; amoureuse

D'Anth;s est pr;sent; en 1834 au po;te par des relations communes, au Dumais, c;l;bre restaurant fran;ais de Saint-P;tersbourg, dirig; (1820-1840) par un ancien soldat de Napol;on. L';l;gant jeune homme ;tait assis ; c;t; de Pouchkine, lequel, charm;, l'invita chez lui (d'autant plus que Pouchkine lui-m;me avait ;t;, dans les ann;es 1930, un familier du baron Heeckeren (il avait m;me habit; chez lui), o; l'intrigant devint rapidement un familier.
C'est ainsi que d'Anth;s rencontra les s;urs Gontcharova, dont l';pouse de Pouchkine, Nathalie Nikola;evna, jeune beaut; c;l;br;e dans tout Saint-P;tersbourg (Serena Vitale, Le bouton de Pouchkine, enqu;te sur la mort d'un po;te, ;dition Plon, 1998).
D'Anth;s fit alors ; Nathalie Nikola;evna une cour si pressante et si soutenue que Pouchkine s'en ;mut (la r;action violente de Pouchkine surprit ses contemporains, et on soup;onna vite le po;te, qui s';tait (visiblement) volontairement aveugl; sur l'amiti; soutenue que le souverain avait port; ; son ;pouse (d'o; rang ; la Cour et pension ?), d'utiliser l'approche de d'Anth;s comme pr;texte ; l';clatement d'une col;re trop longtemps contenue ; et de comparer la pension du po;te - 5 000 roubles - ; celles d'autres, tel Joukowsky (4 000 roubles), pourtant bien plus proches du prince mais sans argument comparable. Or, pour l';ternel d;sargent; et grand joueur devant l';ternel qu';tait Pouchkine, tout d;part de Nathalie Nikola;evna du foyer conjugal ob;rait aussi tout acc;s ; l'imposante fortune des Gontcharoff, de noblesse r;cente, certes, mais bien riches. C'est peut-;tre aussi cette ;ventualit; qui a d;stabilis; le po;te et l'a entra;n; dans cette aventure fatale) et le mena;a verbalement.
Pouchkine re;ut ensuite, le 3 novembre 1836, une lettre insidieuse (cette lettre, ou plut;t ce brevet, l'intronisait Chevalier de Ire classe de l'Ordre des Cocus : Кавалеры первой степени, командоры и кавалеры светлейшего ордена рогоносцев, собравшись в Великом Капитуле под председательством достопочтенного великого магистра ордена, его превосходительства Д. Л. Нарышкина, единогласно избрали г-на Александра Пушкина коадъютером великого магистра ордена рогоносцев и историографом ордена), mettant en doute la fid;lit; de son ;pouse (On soup;onna longtemps (et on soup;onne encore) le baron hollandais Heeckeren d'en avoir ;t; l'auteur. N;anmoins, l'allusion directe du brevet au prince Narychkine, cit; comme grand-ma;tre de l'Ordre, donc ; son ;pouse, la princesse et m;re des enfants d'Alexandre (pr;d;cesseur et fr;re de Nicolas), laisserait plut;t ; penser ; une critique de l'idylle (jamais certifi;e) entre l'Empereur et Nathalie Nikola;evna, donc ; une attaque provenant de l'entourage direct de Nicolas, et l'on voit mal alors pourquoi le po;te s'en serait alors pris ; son futur beau-fr;re... D'autant plus que le titre de chevalier faisait directement r;f;rence ; une distinction qui ne pouvait qu';maner de l'Empereur...); le po;te, exc;d; (Il poursuivait pourtant, parall;lement, de ses assiduit;s la tr;s jeune (n;e en 1815) comtesse Nadiejda Lvovna Sollogoub (qui ne revint - et mari;e - en Russie qu'apr;s la mort du po;te) et la tr;s-belle comtesse de Ficquelmont, ;pouse de l'ambassadeur d'Autriche, entre autres) , d;fia le lendemain d'Anth;s, verbalement. Le duel fut n;anmoins report; de deux semaines, puis d;finitivement enterr; ; cause de la demande [sur les conseils insistants de Joukowsky (certainement appuy; par l'Empereur) et du baron Heeckeren, vraisemblablement afin de tordre le cou aux rumeurs et d';viter tout scandale] (pr;cipit;e) en mariage du baron fran;ais ; l'endroit de la s;ur de Nathalie, Ekaterina, demande qui fut bien entendu contest;e par Pouchkine. D'Anth;s ;pousa donc, le 10 janvier 1837, Ekaterina Nikola;evna Gontcharova, mariage auquel Pouchkine n'assista pas. On ne sait toujours pas s'il s'agissait d'une v;ritable inclination du baron fran;ais vers son ;pouse (certaines lettres adress;es par d'Anth;s ; son p;re adoptif semblent prouver le contraire, ainsi que l'attitude de l';pouse du po;te ; son endroit), ou d'un mariage de convenance [la fortune des Gontcharoff ;tait un sujet bien connu de tout Saint-P;tersbourg, et tout le monde se posait des questions sur l'acharnement de Pouchkine envers une jolie femme qui ne le valait nullement, intellectuellement ; et d'Anth;s d';pouser la s;ur a;n;e de Nathalie Nikola;evna... Dans ce cas, on comprend mal, si le baron fran;ais n';tait qu'un coureur d'argent, qu'il eut continu; alors ; courtiser l';pouse du po;te. Si on ne connait donc pas les sentiments de d'Anth;s ; l'endroit de son ;pouse, force est de reconna;tre qu'il lui resta fid;le et qu'elle l'a toujours d;fendu contre toutes les attaques... ].

Duel et mort de Pouchkine

 Duel entre Pouchkine et d'Anth;s.
Un duel fut d;cid;. Afin d';viter tout drame familial, d'Anth;s proposa ; Pouchkine de se retirer, ;tant plus aguerri que son adversaire, ce que le po;te refusa. Le t;moin de d'Anth;s, le vicomte Loran d'Archiac, attach; ; l'ambassade de France, et le lieutenant-colonel Danzas, ami intime de Pouchkine, fix;rent ensemble les modalit;s du combat. Le soir du 8 f;vrier 1837 (ou le 27 janvier 1837 selon le calendrier julien en usage alors en Russie), les deux beaux-fr;res se retrouv;rent face ; face, pr;s du lieu-dit de la Rivi;re noire, non loin de Saint-P;tersbourg (La passivit; apparente de l'empereur, parfaitement au courant (tant par sa police secr;te que par la rumeur) des pr;paratifs du duel (pourtant formellement interdit et passible de prison) est parfois expliqu;e par l'inclination du prince vers Nathalie Nikola;evna), assist; de Danzas (qui avait achet; les deux pistolets pour le compte de Pouchkine), pour Pouchkine, et du vicomte d'Archiac, pour d'Anth;s.
Plus rapide, d'Anth;s tira le premier et atteignit Pouchkine ; la cuisse, faisant chuter le po;te, qui en perdit son pistolet.
; sa demande, son t;moin Danzas lui procura le sien, avec lequel Pouchkine, quoique tr;s souffrant, tira n;anmoins deux balles en direction de son adversaire, la premi;re ricochant sur un bouton d'uniforme et la seconde l'atteignant au bras droit.
D'Anth;s riposta et toucha le po;te au ventre, blessure mortelle, et le duel cessa.

Перевод:
Более скорый на руку (быстрый), д'Антес выстрелил первым и попал Пушкину в бедро, сбив поэта с ног, который выронил пистолет.
По его просьбе его сек Данзас подал ему другой, из которого Пушкин, хотя и очень страдал, тем не менее выпустил две пули в направлении своего противника, первая пуля получила рикошет на пуговице униформы, а вторая  достигла правой руки.
Д'Антес ответил и попал поэту в живот, рана смертельная и дуэль была прервана

Pouchkine fut ramen; bless; chez lui dans la voiture du baron Heeckeren, ; l'effroi de son ;pouse qui s';vanouit en le voyant. Il mourut deux jours plus tard des suites de sa blessure (officiellement, d'une p;ritonite).
Apr;s le d;c;s de Pouchkine, d'Anth;s fut incarc;r; ; la forteresse Pierre-et-Paul de Saint-P;tersbourg, puis passa en jugement, au cours duquel il protesta de l'innocence de Nathalie Pouchkine, innocence ; r;;valuer d;sormais ; et affirma l;chement la puret; de ses propres sentiments. Il fut graci; par l'empereur, puis reconduit jusqu'; la fronti;re. Sa femme, Ekaterina, qui n'avait jamais dout; de lui, le rejoignit ; Berlin.
 La paire de pistolets fut l;gu;e ; un mus;e ; Amboise dans sa mallette de voyage. En 1989, cette paire de pistolets fut pr;t;e ; l'Union sovi;tique(L';pop;e des pistolets [archive]).

Скайп -диалог мюнхенского пастора S-sa и Реакция питерского фра-растриги АИЯ:
 Seleorus Munch;: прочти - выделено красным мой перевод = пишут французы о дуэли ...
 Аия: О-хрен-еть
 Seleorus Munch;: ссылок нет ... но явно не сам придумал писака = ... не бывает дыма без ...
 Аия: Эт точно
 Seleorus Munch;: Пушкин подговорил Костю и тот в дуло его пистолло всадил аж 2 пули и они вилкой пошли в Жоржика! Но на нём была комплексная защита с гарантией мощного ответно-встречного удара перегаром: корсет Натали в обнимку с кирасой от папы Жозефа + ея же пояс неверности + сковорода  ван Геккерна + пуговки кальсон-лосино-панталон униформы виц-мундира поручика КвГП
: поэтому Жорж и упал!  да он просто пригнулся - думал что пойдет третья = у русских же Бог любит три раза!
 Аия: Т.е. стреляли 2 раза. У них в условиях дуэли - стреляться до смерти
 Seleorus Munch;: Ja? Mein Herrtz! поэтому-то и такой туман в показаниях! поэтому и нет пули ... за две их бы казнили как убийц  = поэтому-то виконт и сбег уже 2 -го фе-Враля =!
 Аия: Надо у французов искать источник
 Seleorus Munch;: Ага, жди и держи карман шире! А Жорж просто-Филя жаловался на боль от контузии еще и животика = ему, дурню, заткнули рот папиным аргументом и более никто в показаниях, толках, комментах и кривотолках НИЧЕГО о деталях Дела ни гу-гу! ;: поэтому-то архив д-Антеса и не отдают публичному разбору... дали часть и то только С. Витале...

Версия. Seleorus Munch;: а було так :
1) АСП подбежал в ярости мести к барьеру первым и пальнул ... пуля попала Жоржу в руку
2) Жорж ответил, попал в тазо-бедр. крепеж ноги, что и завалило АСП вперед и он  упал «лицом в землю» (так у сека виконта!) 
3) упавший АСП взял второй пистолло, поднесенный Данзасом, (поэтому Оливье и возмутился о втором п-лло!) и жахнул в дрожащие дрожайшие **ца любовничка женки, но ... там был низ кирасы и ручка сковороды голландской ...  от удара Жорж опрокинулся и полетел назад 
4) Он шустро очухался, подскочил (что он ушел с позиции писали все!) и шпагой проткнул Пушкину ... метил в пах, но попал в бок живота (поэтому пуля и не была найдена)

Такой вот сценарий для театра абсурда