Chapitres v-vii. la teleportation. partie ii

               Chapitre V. Sauveur et trompeur ; la fois.
          Nadejda toujours n';tait pas habitu;e au lieu neuf. S'ils sont invit;s simplement, peut-;tre elle ne le sentirait. N;anmoins, l'information de ce qu'ils avaient quitt; la place de laquelle s';tait-elle habitu;e et ils sont devenus maintenant des migrants forc;s ; la Sib;rie, tout ;a la d;rangeait. Dans une semaine, elle remarquait qu'une sorte de partie d'elle est en train d'accepter ce qui est arriv; et que les conditions de la vie et lieus diff;rents ressemblent aux d;cors dans un th;;tre qui toujours changent, mais l'observateur reste le m;me. Est-ce que l';tre humain s'habitue ; toutes les choses de telle mani;re? Elle ne savait pas.
          Malgr; le fait qu'ils habitaient tel coin perdu o; les gens sovi;tiques ;taient priv;s presque de tout, Albert et le vieillard poss;daient d'argent. Dans le grand village qui ;tait en train de mourir, il n'y en avait pas de kiosque alimentaire priv; m;me au milieu de la lib;ralisation de l’;conomie. Les kiosques alimentaires comme ;a n';taient que sept kilom;tres d'ici, c'est-;-dire, dans ce village-l; o; ils ;taient arriv;s en premier en bus. Et le choix de marchandises y ;tait bien plus maigre que pr;s de Moscou. Lorsque Nadejda a lit des inscriptions sur les paquets avec attention, il est av;r; que presque toutes ces gourmandises ;taient faites aux ;tats-Unis.
          Olesya pouvait cesser de se cacher maintenant. Quoique le vieillard ne f;t pas communicatif avec voisins, pourtant, il raconta ; eux comme si en passant qu'il ait des locataires maintenant: une femme, le mari et sa ni;ce et qu'ils tous soient de Krasno;arsk, n;anmoins, ils sont originaires de l'Ouest. On nomme comme l'Ouest en Sib;rie, quand on parle de la partie europ;enne de l'Union Sovi;tique.
          ; cause de leur pauvret;, les voisins aussi voulaient mettre des locataires aussi, mais ils doutaient que quelqu'un veuille s'installer ; la sauvage r;gion comme ;a. C'est pourquoi ils demandaient le vieillard de trouver ceux qui sont pr;ts s'installer ici. Une fois le vieillard passait le village avec Albert et ils virent un autre vieillard qui ;tait debout pr;s du portillon. Il ;tait tout chauve et souriait sans raison vue. Il ressemblait ; un acteur fameux Leonov mais plus grand. Ils dirent bonjour, parl;rent un peu et le vieillard lui promet de trouver une seule jeune femme locataire ou deux amies.
          -Comment est-il pour toi? - le vieillard demanda l'Albert lorsqu'ils s';loign;rent.
          -Quoiqu'il soit un peu dupe, mais il est religieux et il a bon c;ur et c'est le point principal.
          -C'est Balda. Tu peux voir sa foi, ; quel bon point ;a a fonctionn; pour lui.
          -Dieu merci.
          -Quand je me suis rendu compte que sa foi est s;rieuse, le premier enfant ;tait n; dans leur famille. C';tait un gar;on. D'ailleurs, il a vingt cinq ans maintenant. Il s'est mari;, et maintenant travaille-t-il et habite Krasno;arsk. Alors, j'ai mis un mot lui "ton bonheur est entre trois arbres". J'ai dessin; un sch;me et j'ai ;crit les distances jusqu'; ces arbres et j'ai ;crit, o; sont ces arbres situ;s. Il n'a compris rien, mais sa femme est av;r;e plus intelligente et elle a tir; au claire tout ;a, donc je ne devais pas mettre le mot en deuxi;me fois. Malgr; les difficult;s, elle a trouv; et d;terr; le "tr;sor" que j'y ai mis secr;tement. L'argent y ;tait dans une bo;te en fer-blanc.  La somme ;tait ; peu pr;s la m;me celle-l; que j'avais vol;e d'eux depuis longtemps.
          -Bien s;r, c'est tout ; ton honneur, - Albert dit, - il n';tait pas donn; ; tout le monde ; rendre volontairement ce qu'il a vol;.
          -Ne me loue pas pr;matur;ment. Et quoi si tu d;cevras apr;s? Mais en fait commence-je ; croire que tu ne seras pas d;;u de moi. Parce que je suis s;r que tu d;fends la libert; des m;urs non pas en paroles mais dans les faits. Olesya est crev;e d'un d;sir d'une certaine chose...
          -Pourtant, tu disais qu'elle ne pla;t pas des jeunes hommes.
          -Je vais ; te raconter ce qu'elle pla;t.
          Le vieillard emmena son h;ritier au-del; de bord du village, o; la for;t commen;ait et ;non;a ; lui son plan dr;le.
          Apr;s la nouvelle d'impossibilit; du retour, Nadejda ;tait en train de revenir ; elle graduellement. Peut-;tre, il ne vaut pas se d;sesp;rer? Peut-;tre la vie neuve deviendra mieux que celle d'avant? Ils sont en Sib;rie, mais leur alimentation n'est pas pire qu'; Moscou. Il n'y a pas des difficult;s et soucis quotidiens.
          Apr;s avoir consult; entre eux, Paul et Albert ont d;cid; de mettre Nadejda dans le secret de leur capacit; de t;l;porter. Parce que les cons;quences a cause de la dissimulation de ce secret peuvent devenir pire que de la d;couverture. Sans savoir, jusqu'; quel degr; est-ce s;rieux, elle pourrait avoir fait des b;tises et tomber dans les griffes des pr;dateurs qui se cachent sous les cartes de FSB.
          Apr;s avoir discut; et envoy; Olesya dehors pour une promenade, Albert et le vieillard ont racont; ; elle de ce qu'ils sont capables de faire. Elle les ;coutait et ne savait pas si croire ; ses oreilles. Mais elle le devait.
          -Est-ce que te souviens comme ;tais-tu indign;e quand as-tu oubli; ta trousse de maquillage chez nous ; Perlovka? Celle auquel tu es si habitu;e et ne voulais rien au lieu d'elle? Dis o; est-elle, et je grimperai ; l'apporter.
          -Elle est dans mon sac ; main. Le sac ; main est soit dans le tiroir du bas de la commode, soit dans le placard.
          Albert disparut tout de suite devant elle. Nadia p;lit. Habitue-toi, - le vieillard dit.
          Elle n'est pas encore remise du choc, lorsque Albert de nouveau apparut de rien, en apportant de l; non seulement la trousse, mais aussi tous un sac ; main.
          -Tu peux voir quel poisson rouge que Kashin voulait poss;der. Et "qu'un poisson d'or lui serve...". Presque comme d'apr;s Pouchkine. Ils te prendraient en otage et me forceraient braquer une banque, partout o; ils voudraient. Soit ; Moscou, soit en Suisse. Si je n'ob;is pas, Dieu nous garde, ils couperaient ton oreille ; me montrer. C'est-;-dire, "essaye d'oser n'ob;ir pas plus encore, en nous ferons pire ; elle".
          -Mon Dieu, on ne peut pas croire! Je pensais: "quel jeu stupide des espions?" M;me maintenant, il para;t que je suis en train de dormir et que je vois une sorte du r;ve ;trange.
          -Tu as fouett; ton amie rousse, est-ce qu'aussi en r;ve?
          Nadia ouvrit les yeux de surprise jusqu'; limite de capacit;. Mon Dieu!
          -Je vais devenir folle maintenant.
          -J'y ai ;t;. ; l'instant quand tu pouvais dire trop de lui, - Albert indiqua ; Paul, - je vous ai distrait ; l'aide du court-circuit.
          -Et quoi, est-ce que tu sautes aux banques de telle fa;on, au lieu de ces espions du FSB?
          -Je te disais, si on va comme ;a, je poss;derais des milliards maintenant.
          -Alors, d'o; prends-tu d'argent? Bien s;r, ce n'est pas des milliards, m;me pas millions, n;anmoins, si on va toujours comme ;a, nous n'aurons plus de probl;me d'argent.
          -Imagine-toi l'entreprise de navette, imagine-toi des trains pleins de marchandises qui viennent, par exemple, d'Asie Centrale. Combien d'argent est d;pens; pour chemin, pour tribut aux racketteurs, en pots-de-vin aux flics, douaniers, conducteurs, contr;leurs? Et maintenant, imagine-toi: il n'y a aucun chemin. Tout est pr;s. Les distances sont nulles. En effet, il y a des petites distances voila pourquoi: as-tu vu comme ai-je disparu ; nulle part et ai-je apparu de rien aujourd'hui? Je ne peux pas faire comme ;a chaque fois devant les gens. Certainement, on croirait d'abord que tout ;a est tromperie, des contes, un d;lire. Puis, non seulement Kashin avec Skolopendrin, mes deux chasseront, mais tout le monde aurait envie de saisir et utiliser tel miracle. Pas si mal si Kashin seulement braque une banque. Et qu'est-ce qui se passerait s'il laisserait voler des missiles ; ogives nucl;aires? C'est pourquoi je dois appara;tre et dispara;tre dans les friches, les greniers et dans toutes sortes de recoins sombres, puis marcher de l; un peu ; pied. Parfois, on peut plaisanter et montrer aux gens des surprises pareilles. Mais si le faire souvent, tu te rends compte maintenant, quelles cons;quences peuvent ;tre provoqu;es. Te souviens-tu comment m'a-t-on donn; un coup sous l'oeil? Sais-tu, o; s'est-il pass;? ; New York!
          Albert se sentait soulag;, en racontant ses secrets qu'il n'avait plus besoin de cacher de sa femme.
          -Ainsi, tu pouvais l;g;rement fuir d'eux. M;me apr;s ;tre captur; par Kashin et ses salauds, tu pouvais dispara;tre et appara;tre d;j; ici ou ; New York. Tu essayais de me sauver, tu essayais POUR MOI. Quelle sotte suis-je, parce que je te grondais en esprit, quand ;tions-nous en train de courir ; travers la for;t. Donc... apr;s tout, tu m'aimes. - En ce disant, Nadejda s'approcha d'Albert ; embrasser apr;s avoir essuy; les yeux qui commenc;rent ; se mouiller.
          -En remerciement, je ne te demande qu'une gr;ce, - disait Albert, en l'embrassant et caressant en r;ponse. - N'essaye pas de revenir chez soi. Ne fais pas de b;tises, malgr; n'importe quoi. Ce serait ;quivalu ; un suicide. Notre t;che principale maintenant, c'est aller ; l';tranger. Pourtant, Olesya et toutes tes amies doivent partir avec nous. S'ils ne me capturent, ils ne laisseront personne en paix.
          -Lena aussi? Apr;s tout, elle nous a trahi.
          -Elle a fait une erreur et maintenant elle est en train de repentir, d'ailleurs, assez sinc;rement, tu l'as entendu, moi aussi. Tu sais maintenant de laquelle coca;ne s'agissait-il. Elle ;tait inform;e de la t;l;portation, donc elle sera ;limin;e, quand ils n'auront plus besoin d'elle. D'abord elle consid;rait l'espionnage comme quelque chose de romantique, aussi l'argent, et en plus ce sexe instructeur Kashin. Elle a une chance de devenir notre amie de nouveau. Elle toujours n'est pas all;e trop loin. Tu essayes de la juger, mais on ne sait pas quelle sorte des tournants peut avoir lieu dans la vie. S'en aga;ant, on peut avoir fait un tort, et si quelqu'un est en train de commettre des vilenies, il peut devenir tel gredin que rien que la mort le peut r;;duquer, mais m;me cela n'a pas lieu toujours.
          -Que veux-tu dire? Si un gredin a choisi son chemin il m;me, pourquoi corrigera-t-il quelque chose?
          -Tous les gens ont des amis et amies, m;me des ;pouses. Mais en fait ce n'est pas qu'une apparence. Ils sont aliens l'un ; l'autre et dans leur soci;t; l'un domine l'autre toujours. Ils peuvent partager un d;jeuner entre eux pour l'apparence. N;anmoins, si on donne un morceau de l'argent m;tallique, ils ne le partageront pas ;quitablement. Quant ; l'or, on peut comprendre sans parler, il les transformera en ennemies. L'or ne fera le bonheur ; personne dans la soci;t; comme ;a. Je n'ai besoin de cette apparence trompeuse, c'est pourquoi j'ai refus; tous soi-disant amis. N;anmoins, ton cas est unique. ; premi;re vue, rien de sp;cial. Mais en fait, il a lieu tr;s rarement comme ;a. Personne ne domine personne. Vous ;tes ind;pendants l'un de l'autre et ; la fois n'avez-vous pas peur d';tre sinc;res entre vous. Ces mots qui sonnent de la fa;on ordinaire, ils r;fl;chissent des faits qui sont discrets par eux-m;mes, mais ils brillent comme une lumi;re brillante dans le contexte de l'obscurit;, dans laquelle est mise la soci;t;.
          Albert remarqua que l';pouse ne l'entend plus, parce qu'il para;t qu'elle est tourn;e vers elle-m;me involontairement et profond;ment. N;anmoins, que c';tait ce qui ;tait en train d'arriver dans l';me d'elle? D'abord, elle fut ;mue aux larmes ; cause de son mari qui montra le soin ; la sauver, cela attisa ses sentiments. Mais elle se souvint soudain comme Lena parlait de l'opportunit; d'adult;re d'Albert avec les amies d'elle, et comme si cette opportunit; appara;trait gr;ce ; la t;l;portation. Cette id;e a eu un effet sur elle comme un seau de l'eau froide vers;e sur la t;te. Elle ne pr;tait pas attention avant, mais maintenant vient-elle de se souvenir que son mari regard ; l'Olesya parfois, quand elle se balade en jupe courte dans la maison.
          -De quoi es-tu attrist;e, ma beaut;? - il parlait ; ce moment-l;. - Je vais apporter une surprise pour toi tout de suite.
          Apr;s avoir dit ;a, il disparut directement devant elle, ; cause de quoi elle fut distraite des r;flexions. ; quoi d'autre pensait-il? Il para;t ; elle comme si elle devait attendre longtemps, mais en fait il ne passa que quinze minutes.
          -N'est-ce pas dangereux? - elle questionna Paul.
          -Ne pas plus que passer d'une pi;ce ; l'autre. La chose principale est de laquelle pi;ce s'agit-il. M;me dans ce cas il n'y a pas de grand danger, car il a assez du temps ; retourner presque toujours.
          Albert apparut de la m;me mani;re ;trange comme il fut disparu. Cette fois, il fut tout tremp;, et avec une expression faciale d'un vainqueur, il remit ; Nadia bouquet de fleurs qui ;taient en valeur sur le march; et ne furent pas locaux.
          -D'o; es-tu arriv; cette fois? Tout tremp;.
          -De Yalta. Il y a l'averse maintenant et ; peu pr;s dix degr;s au-dessus de z;ro. J'ai couru jusqu'au quai de la mer et encore deux cents m;tres le long du quai jusqu'au fleuriste. Mais pour que retourner, j'ai disparu insolemment devant la vendeuse des fleurs. Je crois qu'elle ne veut pas ;tre tenue pour une folle et sera silencieuse, mais elle aura maintenant la mati;re ; r;flexion assez pour longtemps.
          -Est-ce que tu as racont; ; elle de ton premier voyage ; New York? - le vieillard entra en conversation.
          -Je n'ai r;ussi ; l'apprendre qu'il a re;u l;-bas un coup sous l';il. Raconte ; elle, Alik, cela n'aura point l'aire ennuyante.
          Albert vient de raconter ; elle de sa premi;re t;l;portation ; l'Am;rique, ; la plus grande cit;. Cette histoire avec tous les d;tails l'a distrait tout de suite des pens;es n;gatives.
          Les premiers jours, Nadejda ;tait g;n; de faire l'amour avec son mari et elle ;tait surprise que Paul ose le faire avec son Olesya de telle mani;re que malgr; le fait qu'elle ne voit rien, quand la lumi;re est ;teinte, mais on peut entendre tout. Elle d'habitude entendait que chaque fois que la fille elle-m;me prend l’initiative premi;re, elle grimpe pour embrasser, chuchote ; Paul quelque chose ; l'oreille, en g;n;ral, elle l'excite par tous les moyens, obtient toujours ce, dont elle a besoin, et ils apr;s respirent tous les deux passionn;ment pendant ; peu pr;s dix minutes et le lit ancien les accompagne rythmiquement avec grincement. En les observant, Nadia devenait graduellement plus libre st aussi se donna volontiers ; son Albert, de moins en moins avant peur des bruits d'accompagnement et bient;t elle cessa de faire attention ; eux. Et les mots dits hier par Olesya apr;s avoir ;teint la lumi;re ont ;veill; sa curiosit;:
          -Quand aurons-nous cela?
          -Quoi, tu as h;te de faire ;a? Et qui va hurler?
          -Mais ne l'entends pas. Sois plus s;v;re avec moi. Apr;s tout, tu sais que j'aime ;a.
          -Les amis sont chez nous, c'est embarrassant.
          -N;anmoins, ils y habitent pour longtemps. Est-ce que nous allons ; continuer ; scier comme ;a? C'est insipide...
          -Si nous montrons tout d'un seul coup, ils seront choqu;s. Il faut graduellement... s'accoutumer... - puis inaudible.
          -Quelles belles en faire? Je suis en train de deviner.
          -Dans tel cas, j'augmenterai la quantit; et qualit;.
          -Je ne serai pas effray;e.
          -Tu ne le parle que maintenant... Alors, ne me bl;me pas apr;s...
          -; bl;mer toi? Aie! - Olesya commen;a ; g;mir. Leur acte de la connexion d'amour toujours commenc; par cet "Aie!" ; la fin, cet "Aie!" r;p;tait mais d;j; plusieurs fois et plus fort.
          Le matin d'habitude, cette paire ;trange s'asseyait pour ;tudier. En g;n;ral, le vieillard l'enseignait les maths et l'anglais. Un jour pendant le cours, Paul ;tait agac; avec fait qu'Olesya ne comprend pas jusqu'; maintenant le point d'une mati;re nouveau.
          -N;anmoins, je penserai de quel moyen peux-je t'affecter.
          -Peu importe combien tu penses, tu ne peux penser ; rien de mieux qu'on d;j; avait invent; dans le d;but de l’histoire humaine.
          Cette conversation avait lieu il y a plusieurs jours. Et hier, apr;s le dialogue dernier, Nadia commen;a ; deviner de quoi s'agit-il, et elle ;tait int;ress;e ; savoir, si cette supposition confirmerait. Bient;t, sa curiosit; ;tait destin;e ; ;tre satisfaite.

                Chapitre VI. Relations ;tranges.
          Novembre reprenait ses droits de plus en plus. Il n';tait toujours que le commencement de mois, mais la r;gion de Moscou d;ja ;tait toute en neige, comme d'habitude. Albert voyait cela, quand avait-il besoin d'y "grimper" pour quelque chose. N;anmoins, il ;tait ici silence et le gel jusqu'; 10-15 degr;s au-dessous de z;ro le matin et Paul disait que l'opportunit; de cette r;gion toujours n'est pas enti;re. Il peut ;tre beaucoup plus froid dans cette heure de l'ann;e et quant au temps qui est maintenant, il peut faire le temps pareil, y compris, ; Moscou.
          Les nuages gris vinrent que le ciel se couvrit, la neige commen;a ; tomber, mais cela ne chauffa point du tout. Le vent froid p;n;trait ; travers toutes les fissures comme pr;s de Moscou au f;vrier et quand le silence tomba de nouveau, le thermom;tre descendit plus.      
          -Il serait bien ; faire du ski maintenant, - Nadia dit une fois, en prenant du th;. La Sib;rie, qu'est-ce qu'elle signifie pour nous, tandis qu'il fait presque le m;me temps ; Moscou?
          -Tu ne dirais comme ;a, quand il faisait la temp;rature pr;s de moins cinquante degr;s.
          -Il faisait une fois moins 54 dans la ville Naro-Fominsk, c'est soixante-dix kilom;tres de Moscou.
          -Cela peut avoir lieu l;-bas une fois pendant un si;cle, il fait comme ;a ici beaucoup plus souvent.
          -Je voudrais promener aussi, mais j'ai peur du fait que je ne sais pas, comment faut-il prendre les skis avec soi, - Albert entra en conversation.
          -Les choses longues qu'on peut serrer fermement contre et le long de soi-m;me, on les peut prendre et c'est simplement,- le vieillard expliqua.
          -Alors, pourquoi ;tais-tu toujours en train de garder le silence sur ;a?
          -Personne de vous ne parlait du ski jusqu'; pr;sent. C'est pourquoi je supposais que ce divertissement est ;cart; de vous.
          -Non, au contraire. Je et Alik, nous adorons faire du ski. Aussi, il faut acheter des skis aussi pour Olesya. Je le sais, n;anmoins, je les pr;f;rerais prendre de chez nous, car nous sommes habitu;s ; eux.
          -Fais gaffe ; ton dos! C'est probable, il y a des pi;ges. Ils avaient assez du temps ; faire du mal. Si quelque chose ne va pas, retourne imm;diatement, - Paul a pr;venu.
          Albert oublia et commen;a ;a ; "grimper" dans leur appartement ; Perlovka devant Nadia lentement. Une vue terrible l'appar;t. En voyant les intestins du mari, comme s'il soit coup; en deux, elle cria fortement. N;anmoins, Albert n'est que pench; un peu et recula tout de suite de cette fen;tre d'Univers, c'est-;-dire, de cette partie des surfaces planes que sont cach;es partout.
          -Nadia, n'aie pas peur, - il la consolait et ; la fois il toussait fortement. - C'est un effet optique. Lorsque nous passons ; travers une dimension diff;rente, on peut voir non seulement ce que nous avons dehors, mais aussi ce qu'est au-dedans de nous. Quand je le faisais vite, tu ne pouvais rien r;ussir ; remarquer. Mais maintenant, je l'ai fait lentement et c';tait juste. L'appartement est plein du gaz. Maintenant j'y vais marcher l;-bas et casser des verres des fen;tres de notre appartement. C'est leur b;tise, apparemment, ils ne savent pas comment me capturer et essayent tous les moyens.
          -Attends-moi un peu seulement. Je vais revenir tout de suite. C'est tr;s important, - le vieillard dit et sortit puis il revint rapidement avec "Walter" de son successeur, le lui remettant en disant:
          -Suis plus prudent, quoique je sois s;r que ses pi;ges ne sont pas mortels. Quelle est l'odeur de ce gaz?
          -Il ressemble au gaz par lequel les cartouches de gaz sont gonfl;es, quelque chose de sorte de"Merisier".
          -Ils sont des sots, malgr; le fait qu'ils sont du FSB. N;anmoins, je les comprends. Ils t'ont rat;. Et si quelqu'un noyant s'accroche ; la paille, on ne le consid;re comme une b;tise.
          -Ah, comme je m’inqui;te pour lui! - Nadia s';cria.
          -Ne t'inqui;te pas, - et il ajouta en tournant ; l'Albert: - Et tu prends soin de toi-m;me. Ne vois-tu pas, quelle beaut; s'inqui;te pour toi? Elle n'est pas seule qui a besoin de toi. On devra sauver toute votre compagnie. En agissant seul, je peux  rater le succ;s.
          -N'inqui;tez pas, vous. Tout d;pend de moi en effet. C'est pourquoi je serai prudent. N;anmoins, j'entrerai de la rue maintenant. Donc, je vais m'habiller. Il y fait du froid et d'hiver aussi.
          Apr;s avoir habill; la veste et avoir distribu; les armes dans les poches, c'est-;-dire, "Walter" les cartouches de gaz et la hache dans son sein, Albert dispar;t et appar;t dans la r;gion de Moscou devant sa maison. En trouvant les pierres, il les jetait dans les verres des fen;tres de l'appartement et apr;s les avoir cass;s, il entra et monta les escaliers et ouvrit la porte de son appartement compl;tement. Encore une fois, une odeur piquante est venue de l; et les yeux le br;l;rent. Sans trouver quelque chose ; tenir la porte, il mit la hache sous elle. Le courant d'air maintenant devait accomplir son travail. Albert revint ; son abri sib;rien. Tout le monde eut un instant de r;pit.
          -Et comme ;a va l;-bas? Ce gaz ressemble le CS en effet. J'apporterai les skis apr;s avoir ventil;. Et je vais acheter des skis pour Olesya. Je connais un bon magasin d'articles de sport aux faubourgs de Saint-P;tersbourg sans d;sordre et des queues ; cause de la cochonnerie sovi;tique. Et le choix est assez acceptable.
          Quand Albert revint dans l'appartement ventil;, un bruit de r;primande venu de l'escalier le fit ;couter avec attention.
          -C'est un fou qui habite cet appartement. Il fait des exp;riences, il a l;ch; un gaz toxique jusqu'; tel degr; que nous devons ouvrir les fen;tres en hiver. Maintenant, il est en train de casser des verres de fen;tres. C'est bien que seulement dans son propre appartement. Dans l';poque du pouvoir sovi;tique ils l'auraient corrig;. C'est maintenant qu'ils sont lib;r;s! Tout ;a est ; cause de Yeltsin avec sa d;mocratie.
          Ce fut dr;le ; ;couter mais pas int;ressant. Albert apporta ses skis et ceux de Nadia, chacune paire ; son tour. Pour les skis d'Olesya, il les livra apr;s qu'il fut all; et retour  ; Saint-P;tersbourg, "en volant ; travers des dimensions inconnues". Les skis ;taient bien portables ; t;l;porter si les tenir le long de l'axe central, en les serrant contre soi-m;me. Albert se souvint avec regret qu'il avait une possibilit; d'emporter avec lui de la m;me mani;re le fusil qu'il avait pris de sniper ennemi qu'il avait assomm; sur le toit. 
          Ce fut naturel qu'Olesya ne f;t pas chez elle. Elle ;tait en train de se promener ; la ta;ga, pas loin de la maison. Ces derniers temps, elle aimait beaucoup se promener dans la for;t. Quant ; raison de ;a, il ;tait simple l'expliquer par la r;clusion forc;e. D;s l'instant de l'apparition des "locataires", son s;jour dans la maison de Paul ne pouvait plus provoquer les soup;ons. Avant, elle se rendait compte clairement qu'elle devait se cacher pour son propre bien. Maintenant, elle poss;dait la libert; compl;te de mouvement et jouissait par cela. Elle vint bient;t de la for;t froide avec visage frais et rose, et toute contente.
          -Ils sont fatigu;s, les deux. Laissons les ;tre ; la maison, tandis que nous marchons ; faire une piste de ski. J'ai les skis de chasse dans la grange, je vais les apporter tout de suite.
          Apr;s ce dire, Paul sortit et revint bient;t avec skis. Nadejda ne voudrait pas aller ; for;t avec Paul. Quant ; lui-m;me, elle n'attendait aucune surprise de lui, bien savant, que seulement Olesya le fatigue les nuits. N;anmoins, elle ne pouvait pas ;tre s;re ; l';gard de deux restants, et elle avait raison en cela. Mais elle se sentit timide ; refuser sans dire la raison, surtout dire de ses soup;ons en pr;sence des amis bienveillants. Elle n'a dit que:
          -Il d;j; va l'assombrir. Laissons la promenade ne soit pas pendant longtemps. Alik, il m;me fera la piste pour distance plus lange apr;s. Il est jeune, fort.
          -Nous n'allons pas ; le faire longtemps. Deux kilom;tres pour aller, deux ; retourner. Dans une heure nous sommes chez nous.
          Bient;t, ils sortirent. D'abord, Olesya prit un premier livre tomb; dans les mains et fait semblant qu'elle soit en train de le lire. N;anmoins, elle bient;t le remit, en expliquant:
          -Alik, tu sais? Je ne sais pas pourquoi, mais je ne veux plus lire. As-tu offens; que je t'ai nomm; Alik, pas Albert?
          -Il n'y a pas de grande diff;rence. Tout ;a est des pr;judices, mais nous sommes des amis.
          -Je vais ;tre sinc;re avec toi. Comme avec un ami. Tu entends, je et Paul, comme nous faisons du tapage avec Paul dans la nuit sur le lit? Je sais que tu entends. Il est de mon genre, mais je le manque et je ne le veux pas forcer, je m'inqui;te pour sa sant;. Parce que s'il est mort, je mourrai aussi. Albert bien savait de l'inclination des tr;s jeunes filles ; dire des b;tises de sa propre mort pour attirer l'attention. Il savait, comme cette conversation finira et c';tait ce qui augmenta son excitation. Dans cet instant Olesya occupa tout son monde int;rieur. Toutes ses pens;es et r;ves n';taient concentr;s que sur elle maintenant. Il essayait de cacher cela.
          -J'ai entendu un jour, tu avec Paul, vous deux discutiez sur la libert; morale. Et je vais ; v;rifier tout de suite, si es-tu libre en effet ou tu n'es qu'en paroles.
          Apr;s avoir ce dire, elle commen;a ; se lib;rer graduellement de v;tement. Albert regardait ; elle avec attention sans timide, sans d;tourner le regard.
          -Et quoi? Suis-je belle? - elle questionna apr;s avoir enlev; son maillot vert et moulant de bain.
          -Est-ce que tu en doutes?
          -Attends un, peu, - elle mit le maillot de bain de nouveau, - il me va bien?
          -Dans ton ;ge, n'importe quel v;tement te va bien.
          Le maillot de bain fut enlev; et mis de c;t; plus une fois encore.
          -Qu'est-ce que tu penses si je, dans cet ;tat comme ;a, je serai en train de regarder ; toi dans les yeux? Crois-tu que je suis capable?
          -Regarde.
          Elle le regardait fixement comme un boa constricteur. Cela serait dr;lement, n;anmoins, on voulait quelque chose d'autre au lieu de rire. Il commen;a ; regarder au racine du nez d'elle.
          -En regardant dans mes yeux, dis: si tu m'aimes?
          -J'aime toutes vous, parce que chacune de vous refl;te de l'inimitable mani;re la beaut; de l'Univers, la gloire de cr;ation et la gloire de Cr;ateur..
          -Maintenant, je vais le faire de courte distance, - apr;s le dire, elle s'approcha de lui, assit sans m;nagement sur ses genoux, directement sur les pantalons. Sa forme ;tait comme celle-l; de Sveta, seulement, les seins un peu moins, et il pourrait les prendre l'une pour l'autre dans les t;n;bres. N;anmoins, leurs visages et les couleurs des cheveux diff;raient beaucoup. Cette fille ;tait blonde, aux l;vres charnues et ses gris-blues yeux ;taient expressifs.
          -Sais-tu que tu m'as excit; beaucoup?
          -Je le sens.
          -Est-ce que tu fais comme ;a avec tous les hommes?
          -Non. Seulement avec ceux-l; qui sont libres des pr;judices. Le reste ne m;rite pas de voir mes charmes. Il les faut laisser recevoir selon ceux-l; r;gles, selon lesquelles vivent-ils. S'ils affirment, comme s'ils "n'ont pas du sexe", laissons les vivre sans lui. Ils peuvent m;me croire comme si je suis une fille modeste. Je me fiche d'eux ou de ce qu'ils pensent. Et quant ; toi: soit je dois te violer, soit tu me te donneras toi-m;me? Qui est l'homme entre nous, toi ou moi?
          -Je supposais que tu n'as besoin que de bavarder. Si ce n'est pas comme ;a, donc prends garde.
          -J'en prends.
          Une minute ; peine s’;tait ;coul;e quand Albert retira tout v;tement. En l'examinant, la jeune fille s'exclama avec admiration:
          -;a c'est de la chose!
          -Bonne chose, donc viens ici.
          -L'avoine ne vient pas au cheval.
          Albert fit un mouvement ; la direction d'elle, mais elle commen;a ; courir de lui dans toute la maison, en riant joyeusement.
          -Et qu'est-ce qui se passerait si Paul revient plus t;t?
          -Il ne te fera rien.
          -N;anmoins, quoi quant ; toi?
          -Tu le verras.
          -As-tu peur?
          -J'en ai et n'ai pas ; la fois. Enfin, il l'attrapa et serra dans les bras. Ils s'embrassaient sur les l;vres avec passion. Il la serrait, comme s'il essayait de la mettre vers son int;rieur, et bient;t retentit d;j; connu ''Aie!" Toute l;g;re, elle ;tait en train de se donner ; lui suspendue et serr;e par les mains fortes comme par un anaconda. Tr;s bient;t  cet "Aie!" achevant l'action retentit.
          Apr;s avoir d;pens; les forces, les deux s'assirent sur le lit, o; pr;voyante Olesya d;j; auparavant mis un drap pli; en quatre. Pendant ; peu pr;s cinq minutes ;taient-ils en train d';tre assis relax;s. Olesya fut la premi;re qui rompit le silence.
          -Vous me plaisez aussi, chacun de vous ; sa propre mani;re, pourtant le vieillard pla;t plus. Je suis d'accord que chacun de vous aussi refl;te de l'inimitable mani;re la beaut; de l'Univers et la gloire de Cr;ateur, n;anmoins, non seulement ceux qui sont observ;s poss;dent une beaut; diff;rente, mais aussi les observateurs ont les yeux diff;rents. Chacun ne voit qu'une partie ;troite du spectre. Il n'y a pas sauf Dieu des observateurs qui pourraient embrasser tous le spectre compl;tement. Seulement son ;troite partie. Tes yeux ne voient pas la beaut; des gens vieux, surtout ceux-l; qui sont bien conserv;s et il y a quelque chose d'autre qu'ils ne voient pas. Mais mes yeux ne voient ce que tu vois. Nos parties du spectre qui se croisent des c;t;s diff;rents, ils forment une bande ;troite et nous ne pouvons trouver quelque chose en commun qu'au-dedans de cette bande. N;anmoins, ce qu'il y a ; l'ext;rieur, il est compr;hensible et acceptable pour l'un et ne peut pas ;tre compr;hensible et acceptable pour l'autre. Je crois que tu sois beau, mais mes yeux presque ne te voient pas. Ils verront ta beaut; compl;tement, lorsque tu griseras et seras couvert par les rides. Dont ceux-l; qui ne pr;f;rent qu'un seul partenaire, ils ne sont pas n;cessairement des monogames.
          -Tu es une fille intelligente. Malgr; le fait que cette th;orie n'est pas la tienne, je sais d'o; est elle venue, mais c'est une le;on que tu l'as appris bien, si bien appris qu'il faudrait mettre "cinq" pour elle.
          -N;anmoins, je lui mettrais "un" pour le comportement d'elle! - sonna la voix agac;e de la femme d'Albert. - Je vais te tra;ner par les cheveux tout de suite.
          -Nadia. Reste ;a ; moi, - Paul l'accompagnant intervint. - Je la vais punir s;v;rement. Tu es en col;re comme s'il fait mal pour elle ; cause de ;a, mais tu bient;t auras piti; d'elle et essayeras de m'arr;ter. Ce n'est pas seulement toi qui as perdu ; cause de ;a que tu nommes trahison. Moi aussi. H;! Salut beaut;, ne cache-toi pas! Reste comme tu es et vins ici pour le ch;timent. Sans couvrir tes charmes!
          Olesya trembla et rougit, baissa la t;te. Ainsi, elle vint en revue de tout le monde, sans monter les yeux.
          -Tu avoues ;tre coupable?
          -Oui.
          -Tu sais ce qui est prescrit pour ;a?
          -Oui. Ainsi, va et apporte toutes les choses qui sont n;cessaires dans le cas pareil.
          Olesya est sortie, toute nue directement ; la v;randa froide. En premi;re fois elle apporta un banc long. En processus de la deuxi;me sortie, la porte du porche s'ouvrit et il fut entendu un bruit de l'eau d;vers;e. Apr;s cela, Olesya apporta une auge couverte avec une feuille de contreplaqu;. Nadia d;j; commen;a ; deviner ce qui va se passer maintenant. Olesya sortit plus une fois et apporta plusieurs morceaux de corde un peu plus ;paisse qu'une corde ; linge. La t;te d'Olesya ;tait toujours abaiss;e, la rougeur toujours ne disparaissait pas du visage, mais Albert bien inform;, en regardant attentivement, il remarqua qu'elle cachait un sourire sournois et heureux sur le visage. Le vieillard enleva la feuille de contreplaqu;. Nadia ne fut pas surprise, parce qu'elle vit dans l'auge ce qu'elle eut attendu ; voir. Il y avait des tiges bien mouill;s de bouleau ; fouetter. Olesya s'allongea sur le banc avec soumission et s'est laiss; lier les mains et les pieds. Il ;tait vu que les mains d'elle un peu tremblaient.
          -Tu as r;ussi ma belle, n'est-ce pas? - le vieillard dit. -Allons, Nadia. Donne-lui vingt coups de tige et elle recevra de moi le reste.
          Nadia prit une tige longue et sans r;fl;chir trop elle donna un coup sifflant ; la rivale prise dans le p;ch;. Olesya serra les l;vres et un peu frisonna, mais fut silencieuse.
          -Ce n'est que commencement, - l';pouse offens;e grin;a entre ses dents. - Tu bient;t chanteras pour moi, - et une tige flexible imm;diatement fendit l'air trois fois. Apr;s le quatri;me coup un "Aie!" long enfin rompit le silence de la m;me mani;re comme pendant les plaisirs d'amour. Olesya tournait la t;te ; droite et ; gauche, c'est probable que son corps cherchait sans compr;hensible la sortie d'un pi;ge cruel et inconnu. Apr;s avoir rencontr; avec regard de la rivale, le regard br;lant et plein de col;re, elle posa le visage sur le banc de nouveau.
          -Et quoi? Est-ce dur? Maintenant, tu vas devenir ray;e comme une z;bra. Re;ois de plus.
          Apr;s ces mots, la tige ;tait en train de siffler dans un contexte du silence total, en notant ses visites avec les rayures lumineuses de son dos au niveau de ceinture jusqu'aux jambes sveltes au niveau de genoux. Le long cri "Aie!" avec expiration r;p;tait maintenant apr;s chacun coup, et ; l'inspiration fut ajout; un son neuf, aussi ressemblant un cri. Le corps beau d'Olesya, en ;tant emp;tr; dans des cordes, sursautait de plus en plus fort, mais en vain. Elle ;tait attach;e honn;tement. Le vieillard fit un signe avec main apr;s le vingti;me coup ; l'arr;ter.
          -Ce n'a ;t; que les accords d’introduction, ma belle, et maintenant, c'est moi qui vais s'occuper de toi.
          Olesya respira profond;ment et jeta son coup d';il plein d'amour ; son ex;cuteur neuf.
          -Je sais que tu es belle, et il faut fouetter les jeunes filles pareilles plus souvent, pour qu'elles deviennent plus belles encore.
          Le vieillard monta la main, et Olesya s'enfon;a le visage dans le banc plus encore et toute tass;e. Elle se rendait compte que maintenant c'est un expert qui prit les tiges aux mains. Il donna plusieurs fouets ; elle, et au lieu de cri ;rotique "Aie!", un g;missement de souffrance sonnait chaque fois, malgr; le fait que les coups n';taient pas plus forts.
          -Regarde, Nadia. Tu as ;t; pleine de col;re, tu montais la main haut, n;anmoins, il ne faut que savoir quelques secrets simples. Tes tiges tombaient parall;lement ; la surface du corps. Mais les extr;mit;s de mes tiges comme s'ils "tournent le coin". Je suis debout de ce c;t; et toi, contourne ; regarder de position de l'autre c;t;.
          Nadejda contourna ; l'autre c;t; et vit la diff;rence imm;diatement.. Les cicatrices cr;;es par elle ;taient rouges r;guli;rement, du commencement au bout, mais les cicatrices cr;;es par vieillard n';taient pas longues, m;me au commencement plus p;les, mais ; la direction plus proche au bout, elles devenaient plus ;paisses, plus rouges et finissaient avec des points rouges, presque sanglants. Malgr; le dialogue qui eut interrompu la punition, Olesya tournoyait, g;missait et serrait les dents.
          -Assez faire semblant d';tre une actrice plus t;t que ;a commence. Nous allons avoir tout de suite l'amusement admirable. Apr;s avoir le dire, le vieillard diligemment et vite a donn; lui cinq coups de tige, presque au m;me endroit. Olesya hurla. Apr;s avoir attendu un peu, il a choisi comme but autre endroit, et bient;t cinq z;brures furent marqu;es l;-bas qui faillirent ;tre fusionn;es et un peu saignaient aux bouts. Apr;s deux quintuples de plus comme ;a, Olesya hurlait comme une fille d';cole qui a onze ans. Le vieillard la fessait, en changeant les tiges souvent sans faire attention aux hurlements d'elle. Puis soudain s'arr;ta-t-il.
          -Voil;. Tu as re;u une vingtaine coups de Nadia, puis quarante coups de moi. Maintenant va te reposer. Et je te donnerai puis la deuxi;me partie, quarante coups encore.
          Olesya arr;ta de hurler tout de suite, mais la partie du banc contre son visage d;j; ;tait mouill;e ; cause de les larmes.
          -;coute-moi, vieux diable. Peut-;tre assez tourmenter la fille? - Nadia se r;volta.
          -Ne m;le pas. C'est leur amour qui est cruel comme ;a, - Albert dit en faveur du vieillard.
          -Bon sang! Appeler cela comme l'amour?
          -L'amour toujours a raison! L'amour toujours est beau! Juste nos yeux ne sont pas assez perfects, afin que nous reconnaissions cet aspect de l'amour.
          -Est-ce possible un amour comme ;a?
          -Oui. Jusqu'; ce qu'on commence ; ruiner l'un l'autre, tout ;a est l'amour. As tu lu quelque chose sur H;lo;se et Ab;lard?
          -Non.
          -C'est un fait historique, - le vieillard prit part ; la conversation. - Onzi;me si;cle.
          -Allons ; la chambre ; nous reposer un peu.
          Tout le monde alla ; la chambre et s'assit sur les chaises. Olesya ;tait en train d'allonger sur le banc silencieusement. ; peu pr;s dix minutes tous les amis vinrent vers elle.
          -Et quoi, mon amour. Es-tu tourment;e?
          -Tu sais? - la victime r;pondit de la mani;re inattendue ; l';gard des amies. - Il me faut fouetter et le faire plus souvent.
          -Alors, allons continuer.
          Et les tiges flexibles chantaient de nouveau, s'enfon;ant savoureusement dans le corps d'Olesya, jeune et ;lastique. Et le cri de fille de nouveau r;sonnait les murs de vieille maison. Lorsque tout eut ;t; fini, le vieillard la lib;ra des cordes vite, Olesya se comporta de la mani;re inattendue encore. Elle bondit ; la vitesse de l';clair, se jeta au cou de son tourmenteur, en s'exclamant:
          -Merci pour la le;on, mon magicien, mon bien-aim;! Je t'aime, je t'aime!
          Ils s';taient embrass;s avec passion, comme des amants ordinaires, il dans son v;tement, elle toute nue et fouett;e ;tait pr;te ; pendre ; lui. Ils ;taient des amants en effet.
          -Tu te souviens, ma ch;rie Olesya, demain j'aurai quatre-vingt-quinze ans?
          -Oh, j'ai oubli; du tout et je ne t'ai pr;par; rien pour offrir.
          -Le mieux cadeau ; moi n'est que toi, - le vieillard ne dit pas mais chanta en imitant un acteur c;l;bre d'un dessin anim;..
          -Non, il ne faut pas le laisser comme ;a, - Nadia dit s;rement qui il y a quinze minutes ;tait pr;te ; battre avec h;ros de la f;te.
          -J'ai assez d'argent. Je moi-m;me peux donne ; moi n'importe quoi.
          -Ce n'est pas une question d'argent. Au moins, il faut remettre quelque chose comme symbole. Je vais grimper ; Moscou et retour tout de suite, - Albert dit.
          Olesya ;tait toujours debout toute nue sans timide de tout et essayait de regarder derri;re elle le plus loin possible pour examiner des marques des tiges. Enfin, elle s'habilla. Albert s'habilla pour sortir dans la rue froide pour qu'Olesya ne voie pas comme il disparut. Dans demi-heure il retourna avec le sac rempli et il remit au vieillard la videocassette "l'histoire d'O" avec des mots de f;licitations. Puis, il sortit du sac trois petites tortes, le saucisson, le fromage et le th; de Ceylan de la plus haute qualit;.
          Et dans demi-heure de plus, tout le monde ;tait assis ; table, prenait de th; et regardait le film. Le monde invent; par Pauline R;age ne pouvait pas ;tre consid;r; comme si sans probl;me, mais en comparaison avec la vie r;elle, les probl;mes ;taient assez simples, et cela ne qu'embellissait l'intrigue romantique. L'accompagnement musical bien compos; montrait plus une fois que l'amour est beau, m;me celui-l; qui n'est pas compr;hensible ; tout le monde.
          Il ;tait clair que le film plut ; vieillard. ; juger de son apparence, tandis qu'il le regardait, il ;tait claire qu'Albert eut atteint le cible ; l';gard du cadeau. Dans une mesure encore plus grande plut le film ; Olesya et cela ;tait remarquable aussi. Tout immobile et partie compl;tement en sujet, il paraissait que ce soit elle qui fouette son amie Ivonn avec passion perfide et que se soit elle qui tout heureuse se prom;ne en bateau avec sir Stefan et se soit elle qui appr;te autre amie Jacqueline ; l'emmener ; Roissy.
          Il n'y eut rien qui pourrait ;tre un surpris pour Albert. Quoiqu'il ne conn;t pas les inclinations sadomasochistes, il comprenait les personnages du film "en th;orie". Il les non seulement tol;rait, mais aussi les approuvait et accueillait en esprit, il les consid;rait plus haut que les autres, pour ce qu'ils suivaient sinc;rement leur nature.
          La music plaisait ; Nadejda. Elle regardait le film comme un conte, sans oublier que le sujet est invent; et c'est des acteurs jouent des r;les. N;anmoins, apr;s la fin du film, une pens;e est venue ; l'esprit d'elle que tout le monde qui se trouvait dans cette chambre avec elle, personne entre eux n'est acteur. Ils sont des gens r;els de la vie r;elle. Pourtant, qu'est-ce qu'ils faisaient r;cemment? Comme si elle ;tait en train de voir un r;ve assez ;trange, dont elle ne pouvait pas apprendre l'intrigue de la fa;on coh;rente.
          Ils sont des r;fugi;s en fait, mais ils vivent mieux que le reste, et le reste les envierait. Si gentil vieillard Paul, gentil et sage, il croit en Dieu, il a pass; telle ;cole de la vie... et soudain il av;re un m;chant qui couche avec et torture la fille qui a l';ge d';tre son arri;re-petite-fille. Mais tout ; coup il s'av;re que cette fille elle-m;me soit pr;te ; tuer chacun qui oserait toucher son tourmenteur, sans qui elle ne peut pas s'imaginer la vie. Si simple et conviviale, soudain elle essaye de s;duire son mari et r;ussit en cela, il n';tait assez que sortir pendant une heure. Ce qu'il para;t impossible de connecter l'un avec l'autre, soudain s'av;re connect;, li;s ensemble. Il se produit ce qui ne doit pas ;tre produit selon les lois connues ; elle. M;me les in;branlables lois de la physique ont l'air d';tre viol;es. Comme si elle est jet;e ; l'univers dans laquelle elle toujours ne peut pas s'orienter.
          Albert l'aime et la sauve des ennemies et le m;me Albert commet l'adult;re. Les gens normals dans les cas pareils se r;voltent, refroidissent, s;parent, parfois commettent un d;lit. N;anmoins, Albert est devenu plus proche, plus cher apr;s cela. El sent qu'elle l'aime plus fort maintenant. Elle a bl;m; Olesya, lorsqu'elle est entr;e et a vu l'adult;re, mais elle se rend compte que cela n';tait que faire semblant. Elle indignait, parce qu'il est accoutum; d'indigner aux cas pareils. En effet, elle se rendait compte qu'Olesya toujours continue d';tre son amie avec qui elle peut sympathiser et elle ;tait pr;te ; la d;fendre du ch;timent. Il n'y a aucun d;sir de faire du mal ; elle, m;me ni s'offenser ni faire la moue. Maintenant, il se rendait compte qu'elle ne peut pas comprendre non seulement les circonstances ext;rieures. Elle ne pouvait pas comprendre m;me soi-m;me.
          -Je sais tes difficult;s, - le vieillard dit soudain en se tournant ; elle. - Comme ; tout lo monde, on t'imposait d;s la jeunesse la conception comment le monde est organis;. Tout ;a s'est av;r; un mythe. Et ce que tu consid;res comme un mythe, c'est la vie r;elle en effet. La vie r;elle sans masques, sans hypocrisie, sans exag;ration.
          -Justement ; cause de cette derni;re circonstance, notre association de nous quatre ici et aussi le reste de trois ; Moscou est unique. Simplement, tu t'es habitu;e au monde des hypocrites morts. Maintenant, ta t;che est ; t'habituer au monde des vivants. Accepte lui, habite lui, apprends-lui et tu verras ; quel point est-il mieux. Et il ne peut s;journer sans ;tre mieux. Parce que celui-l; monde a ;t; un monde des morts. Et maintenant, le monde de vivants est en train de s'ouvrir devant toi, - Albert fit la conclusion.

                Chapitre VII. Olesya.
          Le lendemain, le jour de quatre-vingt-quinzi;me anniversaire de l'ami de tel grand ;ge, tout le monde ;tait en train de se reposer, de boire du th; et de la bi;re, d';couter la music, de regarder des films de videocassettes. Albert r;ussit ; "voler" aller et retour en New York la nuit ; l'acheter la fraise. Olesya mangeait la fraise et ;tait surprise: o; a-t-il trouv; la fraise au coin perdu de la r;gion de Krasno;arsk en novembre? Elle d;j; croyait s;rieusement que son vieil amant ;tait un magicien. Elle se souvint sans savoir pourquoi, qu'un jour J;sus-Christ avait nourri d'une mani;re merveilleuse cinq mille personnes. Le vieillard racontait d;j; sinc;rement et sans timide ; Nadejda et il avait dit ; l'Albert plusieurs jours avant qu'il fouettait son Olesya presque chaque jour. Outre d'un certain divertissement, cela favorisait ; l'apprentissage r;ussi de la jeune fille.
          Le vieillard avait fait la connaissance avec elle dans la rue en ;t; de l'ann;e derni;re. Il faisait froid et elle avait ;t; assise triste dans une cour d'une petite ville situ;e ; l'Abakan branche du chemin de fer.
          -Alors, malicieuse fille, veux-tu recevoir d'une fess;e avec ceinture? - il avait plaisant; de la fa;on, comme d'habitude plaisantait-il avec des filles rencontr;es par chance. ; la fois, il examinait toujours leur r;action ; ses mots. Cette fois, cela avait l'air comme s'il avait fait mouche.
          -Si tu me nourris, tu peux me fouetter autant que tu veux et il n'y a qu'une seule condition: je dois ;tre attach;e. N'est-ce pas que tu vois qu'il fait froid et je suis fatigu;e?
          -; recevoir cela, tu devras aller par train longtemps et apr;s secouer en bus pendant six heures.
          -Peu importe o; aller. Emm;ne-moi loin d'ici.
          Comme d'habitude, il ;tait ;trangement habill;. Voyager avec jeune fille, en avant une apparence pareille, cela pouvait ;veiller les soup;ons.
          -Dans ce cas, attends pr;s de cette entr;e, mais n'entre pas au-dedans.Je me changerai, sortirai et nous nous mettrons en chemin. Dans une heure et demie, un train local ira ; Krasno;arsk.
          -Pourquoi ne peux-je pas entrer, m;me sur l'escalier? J'ai tr;s froid.
          -Sois patiente encore cinq minutes. C'est n;cessaire. Et l'appartement ne m'appartient pas. Comme peut-ce ;tre? Tu n'as pas peur de ceinture, mais tu as peur de froid.
          -La fess;e et le froid, c'est des choses assez diff;rentes. Il serait mieux que je sois fouett;e trois fois par jour, pourvu que ces gredins ne soient pas pr;s de moi. 
          -Pourtant, je supposais que tu t'es enfuie de chez toi, car on t'a fouett;.
          -Je n'ai pas des parents. Je suis d'un orphelinat.
          -Attends. Je reviendrai tout de suite? Tu pourras raconter sur ;a apr;s. Paul entra dans l'entr;e en courant, apr;s abandonner la fille seule dans la rue froide, t;l;porta vite chez lui, se changea et retourna aux ;tages sup;rieurs du m;me escalier. Son amie neuve sanglotait cachant son visage au radiateur du chauffage qui ne fonctionnait pas en ;t; froid.
          -Eh bien, qu'es-tu? Tu pensais que j'aie tromp;?
          Elle se tourna ; lui, sourit ; lui ; travers ses larmes, prit lui dans ses bras et commen;a ; l'embrasser et sanglota de nouveau. Fais-moi tout que tu veux, pourvu qu'emm;ne-moi de ce lieu. As-tu vu? - elle soudain cessa de pleurer. Je te n'ai pas ob;i et suis entr;e ; l'immeuble contre ton ordre. Fouetteras-tu moi pour ;a?
          -Oui, si tu le veux.
          -Je veux que tu m'emm;nes et caches.
          -Dans ce cas, allons ; la gare.
          Il faisait du matin. Il n'arriva avec son amie neuve qu'en pleine nuit.  En ;tant faim comme un loup, elle d;vorait des sp;cialit;s am;ricaines avec passion et s'endormit directement ; table.
          Le lendemain, pour des raisons de s;curit;, il ne la emmena pas au bain, mais apr;s avoir chauff; de l'eau ; l'aide d'elle directement dans la maison, il la baigna.
          -Maintenant, habille-toi. Sois un peu comme ;a, un peu apr;s, je te donnerai des fringues neuves.
          -Apr;s tout, tu as promis.
          -Quoi?
          -De fouetter-moi.
          Paul n'avait jamais suppos; qu'apr;s la t;l;portation, le destin puisse le gratifier si largement en deuxi;me fois. Enfin, il r;ussit ; se rendre compte que la fille ne plaisante pas, quoiqu'elle essaye de repr;senter tout ;a dans la forme badine.
          -Alors attends-moi un peu. Je viendrai tout de suite.
          Apr;s ;tre sorti au-del; de la porte, il t;l;porta imm;diatement au centre local et y acheta la corde ; sauter. Il revint si vite que la fille toujours ne mit pas les culottes apr;s bain.
          -Oh, tu as la corde ; sauter! Dans l'orphelinat on nous emmenait pour les fautes diff;rentes ; la salle des professeurs et fouettait par la corde ; sauter pareille.
          -Et tu as fui ; cause de ;a, n'est-ce pas?
          -J'ai fui... je te raconterai apr;s.
          -N'as-tu pas peur?
          -Un peu.
          -Allonge-toi sur le lit. Pour que tu saches mieux que peut-on demander et qu'on ne peut pas.
          Olesya baissa la t;te et s'approcha lentement du lit, se laissa lier avec ob;issance. Le vieillard la fouettait longtemps, mais pas tr;s fort. Quand elle commen;ait ; crier fort, il s'arr;tait et exigeait pour prendre l'oreiller dans la bouche. Puis il enleva tout son v;tement et la poss;da sans la lib;rer des cordes. Le vieillard en ;ge presque un si;cle, tomba amoureux d'une fille de quinze ans comme un gar;on. Qu'est-ce qu'est le plus pr;cieux qu'il pourrait perdre dans cette vie? Il n'y a que cette maison. Car si elle court maintenant ; l'appeler les voisins, la Milice, il devrait parcourir le monde et ne revenir jamais dans cette r;gion. Il planifiait auparavant de trouver un asile quelque part dans un pays chaud o; il n'y a jamais d'hiver et passer l;-bas le reste de la vie. Il ne perdra rien. Mais il a commis un p;ch;, voil; ce qu'est le pire. Ce probl;me est bien plus difficile ; la r;soudre.
          Mais d;s qu'il l'a d;li;, elle commen;a ; lui avouer son amour si expressivement et path;tiquement que tous les doutes disparurent. Il n'y a l'aucun p;ch;. Cela n'avait ;t; que l'amour. L'amour r;el! Le cadeau de Dieu et ce serait le p;ch; de le refuser. Olesya ;tait  tr;s heureuse, surtout lorsqu'elle apprit que maintenant pouvait-elle habiter la maison de son amant neuf et r;el, longtemps sans limite. Elle essayera d';tudier bien. Elle la punira souvent et douloureusement. Elle sera sa ma;tresse en m;me temps. Avant, elle ne pouvait que r;ver d'une vie comme ;a.
          Quant ; ses parents, elle ne les se souvenait que vaguement. Une sorte de chambre. Une balan;oire avait ;t; pendue sur le pas de la porte entre deux chambres. Une fois petite Olesya tomba d'elle, avait pleur; et eu peur et solitaire. Et toute de suite, une femme gentile ;tait venue en courant, Olesya la nommait "maman". Elle la prit, caressa, consola et tout devint si bien et heureusement! Cette vie-l; devint comme un vague r;ve qu'elle avait vu depuis longtemps. Elle ne vit plus les gens gentils comme ;a. Il n'y avait plus rien de gentil et agr;able que le soleil au printemps, l'herbe verte en ;t; et les arbres au parc o; elle venait d'habitude ; pleurer comme devant un ami. Elle croyait qu'il y a une sorte de grand Ami au-del; de tout ;a, un seul Ami qui l'entend et comprend. Il est gentil et bon comme la maman du "r;ve" enfantin et maintenant loin. Il est d;sol; quand elle fait quelque chose d'incorrect et t;t ou tard aidera-t-il ; quitter la maison sans bonnes personnes o; il n'y a que des ennemis et sots. Bien s;r, c'est impossible de voir cet Ami, mais Olesya ne doutait pas qu'il existe.
          Personne ne disait ; elle sur ses parents. Seulement ces derniers temps, des rumeurs ressembl;es ; la v;rit; commenc;rent ; l'atteindre. Comme si son p;re fut emprisonn; pour "viol l'ordre social". Ces temps-l; beaucoup de monde furent emprisonn;s pour le "viol l'ordre social" et tr;s souvent injustement. Sa m;re bient;t s'est jet;e dans la rivi;re dans un acc;s de d;sespoir. Personne ne r;ussit ; la sauver. Aussi elle entendit, comme si son p;re commis des d;lits terribles apr;s ;tre sorti de la prison, comme si plusieurs meurtres avec d;membrement de cadavres pour venger, n;anmoins, peut-;tre tout ;a n'est qu'une exag;ration.
          Olesya ;tait une ;l;ve diligente et dou;e, mais en ;tant, y compris, une "malicieuse fille", elle r;ussissait ; m;riter parfois une fess;e dans la salle de professeurs. D'abord comme tous les enfants, elle avait peur et ;vitait de cela. N;anmoins, assez vite commen;a-t-elle ; trouver dans ch;timents pareils soit quelque chose d'agr;able, soit quelque chose de sublime et d'inexplicable. M;me une personne adulte ne pourrait pas donner ; ce ph;nom;ne une explication claire. Elle ne partageait ses id;es avec personne et ces id;es ne la chargeaient point. En journ;e, c';tait oubli; entre les jeux et le;ons. Ce n';tait que le soir se souvenir agr;able, comme elle avait ;t; fouett;e il y a un mois, comme elle hurlait de la douleur et demandait pardon. Elle voudrait y compris que le professeur de chant la fouette, mais il n';tait jamais charg; avec travail pareil. C';tait une femme de m;nage, toujours m;contente, ; qui donnait-on les ordres de fouetter les enfants d;linquants en pr;sence du chef enseignant, c';tait une maigre femme ; lunettes qui avait autour de 40 ans. Fantasmant le soir au lit sur les sujets pareils, Olesya planifiait, comment m;riter une punition neuve.
          Ainsi, elle reprenait souvent la culpabilit; des autres, de ses amies et m;me des gar;ons. Aussi elle-m;me violait souvent l'ordre s;v;re. Il para;t, apr;s avoir acquis une r;putation d'une sorte de fille malicieuse, en reprenant la culpabilit; des pairs, elle doive ;tre aim;e par tout le monde, au moins dans cette classe. Mais il fallait croire que non. Elle a os; diff;rer. Elle a os; fantasmer sur des choses, sur lesquelles le reste ne fantasmait pas. Ce n';tant pas une question de sexe de tout. Elle ne partageait avec personne ses inclinations sexuelles. Elle-m;me ne pouvait pas comprendre, pourquoi tout le monde la commen;a ; d;tester depuis l';ge de neuf ans.
          Elle ne remarqua que deux choses. La premi;re: il n';tait int;ressant du tout ; communiquer ni avec gar;ons, ni avec filles. La deuxi;me: elle ;tait reproch;e constamment qu'elle "ne sait pas vivre en collectivit;". Ce qu'ils voulaient d'elle, personne n'expliquait distinctement et clairement jamais. Pourtant, la solution ;tait tr;s simplement: ; expliquait cet ;tat de fait distinctement et clairement, personne n'aura le courage de le dire. Si quelqu'un ose, bient;t il s'av;rerait en situation non mieux qu'elle ;tait. Tous ils pouvaient sans doute le sous-entendre, mais ils ne le pouvaient pas prononcer ; haute voix. Cela sonnerait  ainsi:
          "Dans notre ;tat, tous les gens sont ordonn;s d';tre identiques. Personne n'ose diff;rer, mais tu as os;. Tu as l'air comme si tu es plus intelligente que les autres, mais tu dois ;tre comme tout le monde. M;me si tu es en train de garder le silence, malgr; cela peut-on voir que tu diff;res d'eux avec quelque chose. Tu dois faire n'importe quoi, pour devenir comme tout le monde, non seulement de dehors, mais aussi au-dedans, car le monde int;rieur d';tre humain est aussi vu, quoique non toujours puisse-t-il ;tre interpr;t; ; l'aide de mots. Comment le faire, c'est ton probl;me. Si tu le peux, tu vivras comme tous les gens normals. Si tu ne le peux pas, tu p;riras. Non tout de suite, mais graduellement. D'abord, sans moyens de subsistance et avec mauvaise r;putation. Puis parcourras des prisons ou des asiles de fous. Et notre glorieuse collectivit; y contribuera."
          Elle retournait tout le temps aux pens;es de soi-m;me, en cherchant avec diligence que fait-elle de mauvais. Elle cherchait, cherchait ce mal au-dedans d'elle et ne trouvait rien. Il n'y avait que celui-l; Ami invisible ; qui pouvait-elle se plaindre du destin et demander son conseil. Il n'y avait que Lui avec qui pouvait-elle ;tre sinc;re, m;me malgr; le fait qu'il ne r;pondait pas ; elle, quoique peut-;tre il r;pond;t ; elle en langue inconnue des symboles et destins. Elle toujours n'apprit pas cette langue. Puis elle commen;a ; deviner que cet Ami soit le m;me Seigneur. Elle priait ; Lui. Un jour elle visita l';glise, mais fut d;;ue. Dieu qu'elle s'imaginait ;tait diff;rent du tout contrairement ; l'image cr;;e par vieilles femmes locales. Seulement apr;s, dans quelques ann;es, apr;s avoir lu dans l';vangile de Jean:  "Je ne vous appelle plus serviteurs, car le serviteur ne sait pas ce que fait son ma;tre ; je vous appelle mes amis, car tout ce que j’ai entendu de mon P;re, je vous l’ai fait conna;tre" (Jean 15: 15) - elle sanglota et se repentit. J;sus-Christ, Il fut le m;me Ami. Elle reconna;t en Lui cet Ami, avec Qui elle essayait de communiquer mentalement. Tout le monde d;testait Lui de la m;me fa;on. Un des meilleurs amis le trahit pour ;tre crucifi;. Et il expliqua ; elle quel est son probl;me, il y a deux mille ans: "Si vous apparteniez au monde, le monde aimerait ce qui est ; lui. Mais vous n’appartenez pas au monde, puisque je vous ai choisis en vous prenant dans le monde ; voil; pourquoi le monde a de la haine contre vous". (Jean 15: 19)
          Elle commen;a ; chercher dans l';vangile la raison de sa passion inhabitude et ne trouva rien. Elle d;cida qu'elle n';coutera plus des gens. N;anmoins, elle ;tait int;ress;e,  son nouvel ami humain, c'est-;-dire, le vieillard Paul, comment r;pondrait-il sa question?
          -Tu sais quoi, mon amour que Christ a ces paroles : "J'ai beaucoup de choses ; vous dire, mais vous ne pourrez pas les contenir." Si tu ne r;ussis pas ; trouver la r;ponse ; une question, n'oublie pas que Christ a une r;ponse universelle ; toutes les questions: "c’est ; son fruit qu’on reconna;t l’arbre" (Matthieu 12: 33)
          Alors ; la maison d'enfants, Olesya, m;pris;e et pers;cut;e par tout le monde, sauf la communication mentale avec l'Ami, elle commen;a ; chercher l'amour, dont tant sont dites en po;sie et chant;s en chansons. Quand sa situation d;j; paraissait sans issue, elle commen;ait ; son tour soudain ; se rendre compte qu'il n'y a plus que peut-on perdre et maintenant peut-elle faire tout. En quoi consiste l'amour, ; l';gard ce sujet, les filles de classe pouffaient et les gar;ons chuchotaient aux toilettes, en inhalant la fum;e des cigarettes bon march;. Il n'y avait aucune possibilit; de comprendre quelque chose. On parlait du m;me sujet comme du plus grand bien et ; la fois, comme de la plus grande abomination avec condamnation et gros mots.
          En voil; un jour, l'une des soir;es pareilles du sentiment comme s'il n'y a plus que pourrait-on perdre et d'une certaine "omnipotence" ; cause de ;a, et comme si maintenant peut-on faire tout, elle se donna ; un mec de dix-sept ans qui habitait ; c;t;. ; ce moment-l;, elle n'eut que treize. Cette chaude soir;e, ; l'accompagnement des moustiques bourdonnants dans le m;me parc, elle laissa d'abord la caresser et l'embrasser, puis la d;shabiller et d;florer. Elle ;tait bien mais elle manquait quelque chose. "Est-ce l'amour?" - questionnait-elle soi-m;me et r;pondait: "S'il n'est pas, alors quoi?"
          Apr;s avoir obtenu ce que voulait, son "amoureux" rapporta vite de la nouvelle "victoire" aux canailles connus. Ils se furent moqu;s de lui: "Tu as contact; avec une folle. Apr;s tout, elle est loufoque!" N;anmoins, il eut de la rancoeur non envers eux, mais envers elle, et un jour de rendez-vous vint-il so;l et emmena des so;ls amis avec lui. Lorsqu'elle se rendit compte de tout, il d;j; fut tard. Il d;j; fut impossible s'enfuir. Ils la viol;rent, chacun ; son tour, mais quand ils commenc;rent ; mettre la bouteille au-dedans d'elle, elle-m;me ne se souvient de quelle fa;on r;ussit-elle ; casser la bouteille et couper la gorge d'une des canailles. Il faillit mourir ; cause de saignement abondant, l'ambulance vint ; temps.
          Les relations anciennes aid;rent au fils d'un ancien boucher du magasin d'alimentaires ; n';tre pas emprisonn;. Aussi Olesya ne fut pas accus;e pour la tentative du meurtre, sinon ils seraient forc;s montrer cette affaire devant tout le centre r;gional Abakan. L'affaire fut simplement ;touff;e. La tentative d'envoyer Olesya ; l'h;pital psychiatrique aussi ne fut pas r;ussie. Il y avait des rumeurs comme si ; l';gard de tout qui fut arriv;, un bien connu local d;fenseur des droits de l'homme a dit quelque chose publiquement ; cause de quoi le local psychiatre fut au courant, s'il d;clare cette fille schizophr;ne, il pourrait avoir l'aire ridicule et il d;cida de ne pas risquer. Elle n';tait plus punie ; la salle de professeurs. Les adultes arr;t;rent de faire attention ; elle du tout. Les filles plusieurs fois l'attrap;rent et battirent, mais pas fortement, seulement pour l'insulter. Les adultes ne voulurent rien m;me entendre sur elle.
          Avant m;me de faire connaissance avec celui-l; canaille, Olesya ;conomisa un peu d'argent de poche et acheta la corde ; sauter. Rarement r;ussissait-elle ; se cacher et s'amuser avec corde, en se fessant. Un jour apprit-elle sur Fran;ois d’Assise qui avait fouett; soi-m;me jusqu'; sang, puis m;langeait le sang avec la neige, sculptait des bonshommes rouges de neige et disait: "voil; mes enfants".
          "Cest probable qu'il fut comme moi", la jeune fille pensait. Apr;s ce cas-l;, quand les gredins la souill;rent, elle d;cida qu'elle ne sera contente d'amour que comme ;a: fouetter soi-m;me en souffrant et jouissant ; la fois.
          Un jour, une ;ducatrice l'attrapa par surprise en train de faire ;a et ; sa grande surprise, elle non seulement la resta sans punition, mais m;me resta cette affaire sans rendre public devant les pairs. Bien s;r, l'administration, les autres ;ducateurs et professeurs ;taient inform;s. Ils chuchotaient entre eux d'habitude, ; l'instant de l'apparition d'elle, ils se tournaient ; elle, en regardant fixement et ostensiblement avec les yeux ;carquill;s, comme s'ils regardaient ; une b;te sauvage, puis chuchotaient de nouveau. Quel r;pugnant air avaient-ils, s'en comportant de mani;re comme ;a! Ils ressemblaient aux pires protagonistes et personnages qu'ils jugeaient m;mes, en regardant les s;ries des soaps ; la t;l;, ils ne le r;fl;chissaient jamais. S'ils se rendent compte compl;tement de leur essence sale, peut-;tre quelqu'un d'eux se pendrait ; cause de r;pugnance ; l';gard de soi-m;me.
          Un jour les mots de chef enseignant atteignirent ses oreilles: "ce serait si bon si elle se va de nous plus vit! Comme ; l';poque de Staline: "il n'y a d'homme - il n'y a pas de probl;me". Elle serait ; l'endroit appropri;, au camp de prisonniers. ; l';poque de Brejnev - ; l'asile de fous. Mais maintenant devons-nous travailler!
          Elle commen;a ; commettre ;vasions. Elle vaguait et cueillait des bouteilles ; recevoir un peu d'argent de poche. Un jour, pr;s de la gare, elle fit connaissance avec un homme d'affaires de passage et se donna ; lui pour cinquante dollars. Mais apr;s cela, des locales prostitu;es de la gare chassaient ; elle le long de toute la ville et elle r;ussit ; fuir de pers;cution avec peine. Ce jour-l; elle s'alla ; Novossibirsk, mais elle manqua d'argent pendant longtemps. Apr;s avoir achet; le rem;de contre les mosquitos, elle habitait en pleine nature et ;tait heureuse, en essayant des branches flexibles des arbres diff;rents et l'ortie ; se fouetter dans la nuit. Puis la fin de l'argent est arriv;e et elle devait revenir.
          L';vasion suivante et enfin trouva-t-elle l'ami entre des ;tres humains, un ;tranger du si;cle dernier qui poss;dait des capabilit;s magiques, inconnues pour elle. Mais la chose principale, il ;tait de son genre, il poss;dait la m;me passion ;trange, il ;tait le premier ami r;el entre les gens et il ouvrit devant elle tant des choses nouvelles, si comparer, avant, elle ne savait pas une dixi;me partie de ce qu'elle savait maintenant. Si elle reste seule, avec la connaissance pareille toutes les chances a-t-elle de survivre m;me ; la Russie. Quant ; survie aux ;tats-Unis ou dans les autres pays libres, on peut n'inqui;ter pas du tout: elle est garantie. N;anmoins, ; cet instant inqui;tait-elle non de soi mais de son amant de l';ge presque de si;cle. M;me les ;pouses jeunes n'inqui;tent pas de ses maris jusqu'; tel degr; comme elle. Elle ;tait pr;te de se consoler avec main beaucoup de fois et ne se donner ; lui que rarement, pourvu que ne pas nuire ; la sant; pr;cieuse de lui. Et il connaissait bien le prix des cadeaux pareils de destin. Presque personne n'eut autant de chance parmi tous ceux qu'il connaissait. M;me dans l';ge de quarante ans d;j; n'avait personne autant de chance. Et en plus avait lieu telle combinaison harmonieuse de leur fantasie! Et il aussi savait que malgr; le fait qu'il est un vieillard, il est un cadeau pr;cieux pour elle. Les gens simples apr;s les avoir vus comme un couple amoureux, personne d'eux ne croirait en d;sint;r;t mat;riel de l'amour d'Olesya. S'il croit, il collerait mentalement sur elle tout de suite une ;tiquette de folle personne. Seulement Albert admirait et ;tait capable les de comprendre. M;me Nadia d;j; commen;ait ; comprendre quelque chose et regardait ; eux de plus tol;rable mani;re qu'hier. Elle ne pourrait pas expliquer, pourquoi comprenait-elle ;a, mais elle savait qu'Olesya pr;f;rait en effet le vieil Paul ; jeune Albert. Si elle s;duit ; nouveau son mari, alors seulement pour qu'elle soit fouett;e pendant longtemps et douloureusement.
          Elle essaya de s'imaginer comme si Albert a couch; avec toutes ses amies, s'il d;j; grimpait sur la jeune fille de quinze ans, pourquoi sera-t-il timide ; s;duire les femmes adultes. Elle essaya de s'imaginer comme si Albert l'abandonne apr;s ;tre tomb; amoureux d'une des rivales potentielles. Elle n'a pas r;ussi ; s'imaginer une chose pareille. Ce ne serait pas lui.
          Et le t;l;pathe vieil, tout de suite dit-il sur le sujet des id;es d'elle.
          -Nadia, calme-toi. Il ne t'a trahi pas. Ce n'a ;t; aucun adult;re. Il n'est pas adult;re mais un essayeur. Il a besoin de palper tout, de go;ter tout. Souviens-toi comme ; l'enfance avait-il mis une pince ; ;piler en prise ;lectrique.
          Tous sourirent.
          La f;te d'anniversaire s'approchait ; sa fin. Il restait un travail pour demain: ; v;rifier comme vont les autres amies et l'espionner les "espions".


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